Transformations diverses
Datte: 31/05/2021,
Catégories:
fffh,
fbi,
grossexe,
hotel,
Transexuels
humour,
fantastiqu,
fantastiq,
... ensorcelée, je rentrai discrètement derrière eux, avec mon bide et ma moustache énormes, et ma queue toujours tendue. Une fois dans les toilettes, je fis ressortir Bazouk et lui demandai de m’endormir quelques minutes les deux pauvres gars, ce qu’il parvint à faire après les avoir chacun affublés d’une grosse barbe. J’étais sur le point de ranger Bazouk et de larguer mon fric dans la poche de l’handicapé avant de me barrer avec son fauteuil ; mais je me fis la réflexion que mon bon génie parviendrait peut-être à me réaliser une copie respectable du véhicule que je m’apprêtais à dérober. — Bien évidemment, claironna Bazouk en réponse à ma suggestion. C’est un jeu d’enfant. Regarde… Il claqua des doigts et, dans un éclair de fumée, apparut un engin métallique à mi-chemin entre une brouette et une chaise longue. Je soupirai ; je savais par expérience qu’il faudrait sans doute plusieurs essais à mon bon génie avant de parvenir à me copier le fauteuil. J’attendis patiemment le second essai du grand magicien. Mais celui-ci me fixait gaiement avec son sourire moelleux. Il était content de lui ; tout était parfait à ses yeux. C’était encore plus grave que je ne le pensais… Je soupirai et le forçai finalement à rentrer dans sa théière, sans tenter de lui faire comprendre quoi que ce soit ; on n’avait pas vraiment beaucoup de temps. Je glissai deux cents billets orange dans les poches du type et, lui abandonnant la brouette (qui, j’en étais sûr, le ravirait…), me barrai sur son ...
... fauteuil que j’essayai tant bien que mal de faire rouler droit. Personne ne fit attention à moi lorsque je revins des chiottes et je rejoignis les filles, à peine surprises, qui me poussèrent rapidement vers les zones d’embarquement, où l’on se sépara. Je restai avec Estelle et après un moment chiant à faire la queue, l’hôtesse fit une sale tronche en découvrant que j’étais en fauteuil et qu’on n’avait pas prévenu. Mais elle prit ça comme un challenge et se démena corps et âme pour nous permettre de partir dans les meilleures circonstances. Nos passeports bidons parurent lui convenir à merveille ; nos sacs furent marqués et partirent sur un petit tapis roulant. Estelle me poussa jusqu’à la zone de contrôle. Je stressai quand même un peu, mais tout se passa incroyablement bien, les flics se contentant de me fouiller rapidement et d’examiner en détail mon fauteuil roulant. Tout le monde, le long du trajet, se demandait visiblement ce qu’une belle nana comme Estelle foutait avec un gros affreux comme j’étais devenu, qui plus est dans un fauteuil. Mais je les emmerdais et leur souriais avec cynisme. Bon, le point négatif, c’était que si je me remettais à marcher tranquillement, ça ferait sans doute louche ; tout le personnel de vol avait été prévenu qu’ils auraient un mec en fauteuil à gérer. Bah tant pis, j’allais jouer le jeu, et puis voilà. Nos billets de classe affaire nous donnèrent le droit d’attendre l’heure de départ dans un beau petit salon privé d’Air France plutôt que de ...