1. Plus on est de fous, plus on rit


    Datte: 01/06/2021, Catégories: grp, inconnu, fsoumise, hdomine, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe sm, attache, yeuxbandés, fouetfesse, fsoumisah, boitenuit,

    ... m’est difficile de te faire plaisir. Je ne suis pas télépathe. Élodie sourit puis souffla : — Il y a une chose qui ne s’est produite qu’une fois et que j’aimerai beaucoup se voir renouveler. Gilles chercha, mais ne vit pas ce qu’ils n’avaient pratiqué qu’une seule fois ensemble. — Je t’écoute, fit-il.— Tu veux bien dormir ici ce soir ? demanda Élodie. Si Gilles n’avait pas été assis, il en serait tombé. Bien sûr qu’il acceptait ! Quelle question ! Ils passèrent donc la nuit ensemble, tout simplement heureux. Le lendemain matin, Élodie se leva à six heures. Gilles devait se lever à sept heures afin d’avoir le temps de passer par chez lui pour se changer. Élodie fit donc son possible pour ne pas réveiller son amant endormi et se rendit dans la salle de bain en silence. Ce ne fut pas son entrée dans cette pièce qui réveilla Gilles mais le temps relativement long qu’elle y passa sans qu’on entende couler d’eau et les injures marmonnées qui en provenaient. Il se leva et alla frapper à la porte. — Élodie ? Ça va ? La porte s’ouvrit, dévoilant la jeune femme dans le plus simple apparat. — Tu devrais plus souvent apparaître ainsi devant moi, dit Gilles, tout sourire.— Ne te moque pas ! s’exclama Élodie en faisant la moue.— Loin de moi cette idée. Dis-moi, tu as un problème ? Il m’a semblé entendre des bruits bizarres venir d’ici.— Ce sont les ordres de mon maître qui me posent problème, annonça Élodie.— Ah ? dit Gilles, soudainement très intéressé.— Ben oui, d’habitude, dit Élodie ...
    ... qui lui faisait face avec naturel malgré sa nudité, je ne me lève pas tout de suite. Je reste dans le lit et je mets les boules de geisha là bas, au chaud en pensant à toi. Mais là, je me suis levée pour ne pas te déranger et rien à faire, je n’y arrive pas. Gilles n’attendit pas une seconde. Il l’amena à lui avec fermeté mais douceur, la plaqua dos à lui, la saisit à la gorge d’une main et lui caressa le clitoris de l’autre. Élodie gémit immédiatement et sentit son intimité se mouiller. Elle était un peu dégoûtée qu’il y arrive aussi facilement. Si elle pouvait se toucher elle-même, ça serait tout de même plus aisé. — Mets-les, dit-il lorsqu’il considéra que le sexe de sa partenaire était suffisamment lubrifié. Élodie obéit et les rondeurs s’insérèrent sans difficulté. Gilles la lâcha et Élodie souffla : — Merci, maître.— C’est réellement sympathique de dormir et de se réveiller avec toi, dit Gilles. Il faudrait faire ça plus souvent.— Je suis d’accord, mais ça te fait lever bien plus tôt que d’habitude.— Ce n’est pas très grave, ne t’inquiète pas. De temps en temps, ça ne va pas me tuer. Élodie hocha la tête en souriant puis elle passa devant lui et retourna dans la chambre pour s’habiller. Gilles la regarda faire avec plaisir puis ils déjeunèrent ensemble. Élodie donna la clef de l’appartement à son compagnon, lui disant de la mettre dans la boîte aux lettres en partant puis s’éclipsa pour aller au travail. Ils ne se revirent que le mardi suivant, ayant chacun des soirées de ...
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