1. Plus on est de fous, plus on rit


    Datte: 01/06/2021, Catégories: grp, inconnu, fsoumise, hdomine, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe sm, attache, yeuxbandés, fouetfesse, fsoumisah, boitenuit,

    ... prises, et des week-ends chargés. Gilles dormit chez Élodie. Il lui plaça à nouveau lui-même les boules de geisha le matin, pour leur plus grand plaisir. Ils déjeunèrent ensemble jeudi et dimanche, Élodie se rendit chez Gilles, où elle arriva à dix heures du matin. Ils commencèrent par discuter, se racontant leur semaine, leurs petits soucis quotidiens, appréciant de rire et de bavarder ensemble. Puis, Gilles sortit les bracelets mais ne les tendit pas à Élodie. — Avant, j’ai une question, dit-il.— Je t’écoute, dit-elle, peu sûre de son tutoiement pour lequel Gilles ne la rabroua pas.— Certaines personnes, certains maîtres, considèrent comme naturel de faire l’amour à leur soumise, je veux dire par là le coït. Moi, je pense que c’est un pas important, pour lequel il faut se mettre d’accord. Acceptes-tu que dans cette séance, j’aille jusque là ? Acceptes-tu de partager cela avec moi ?— Oui, dit Élodie immédiatement et d’une voix très sûre. Gilles hocha la tête, sourit puis lui tendit les bracelets qu’Élodie plaça à ses poignets. Elle le suivit ensuite jusqu’à la chambre. Elle se dévêtit pour lui et fut surprise de l’entendre ensuite lui ordonner : — Allonge-toi sur le lit, sur le dos. Depuis le tout premier jour, il ne lui avait jamais demandé. Élodie accepta et il l’attacha en croix puis lui banda les yeux. Il la caressa ensuite, jouant avec ses seins, les léchant, les suçant, mordillant leurs bouts dressés. Il l’embrassa, la câlina, puis il se plaça sur elle, en 69. Élodie ...
    ... découvrit la fellation "forcée" car dans cette position, ce n’était pas elle qui décidait des allers et venues, mais Gilles, en bougeant les hanches. C’était également lui qui choisissait la profondeur et elle ne savait donc pas quand sa hampe heurterait le fond de sa gorge. Elle trouva cela désagréable par le côté nausées imprévisibles, mais délicieux du côté domination totale de son maître. Alors qu’elle lui offrait sa bouche, il dégustait son abricot trempé. Ils restèrent ainsi de longues minutes et Gilles cessa avant qu’ils n’en jouissent, se plaça sur sa partenaire, cette fois dans le même sens qu’elle, et la pénétra de son sexe dur. Élodie gémit mais elle aima beaucoup se sentir ainsi rempli par ce sexe chaud et palpitant. Il prit son temps, allant et venant avec douceur d’abord, puis plus fort pour finalement la labourer avec fougue pour enfin jouir en elle. Élodie n’avait pas eu son plaisir mais elle en était si peu loin qu’il suffit à Gilles de caresser son clitoris une quinzaine de secondes pour qu’elle se mette à hurler de cette façon si caractéristique. Lorsqu’elle fut en mesure de le faire, elle le remercia et Gilles la détacha. Ils se douchèrent ensemble puis préparèrent le déjeuner ensemble. — J’ai adoré, dit Élodie en ne laissant même pas le temps à Gilles de lui faire subir son habituel interrogatoire après une séance. Gilles rit de cette initiative puis souffla : — Je t’aime, vraiment. Il l’embrassa puis continua à nettoyer les poivrons. — Même la fellation ...
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