1. Plus on est de fous, plus on rit


    Datte: 01/06/2021, Catégories: grp, inconnu, fsoumise, hdomine, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe sm, attache, yeuxbandés, fouetfesse, fsoumisah, boitenuit,

    ... suivante, Élodie était de repos le samedi, leur permettant de prévoir un nouveau long week-end, ce qui n’était pas pour leur déplaire. Le samedi, Gilles ne proposa qu’une séance le matin et lorsque, à quinze heures, déçue de ne rien voir venir, Élodie lui tendit les bracelets, il les refusa en lançant : — Gardes tes forces pour ce soir, tu en auras besoin. Élodie sentit sa curiosité être piquée. Il ne lui avait rien dit. Il savait lui faire des surprises. Elle passa l’après-midi à se demander ce qui l’attendait. Ils firent une promenade en ville qui ne la calma pas. Elle ne lui demanda rien, mais Gilles sentit son impatience et cela le fit sourire. À dix-huit heures, il lui tendit les bracelets puis lui lança : — Va te changer. Mets les vêtements dans la panière de l’armoire de la chambre. Élodie s’y rendit et Gilles la suivit, désireux de la mater pendant son habillage et de voir sa réaction. Élodie y trouva une jupe très courte, des bas, des chaussures à talon, des porte-jarretelles et un petit haut très moulant et avec un décolleté plongeant. Il n’y avait rien d’autre : ni culotte, ni soutien-gorge. Élodie ne crut pas une seule seconde que ce fut un oubli. Elle se vêtit devant son maître dont le pantalon était déjà légèrement déformé. Il se changea également et passa ses vêtements de "maître" : ensemble noir fin mais confortable. Puis, il lui fit signe d’approcher. Il lui mit des bracelets aux chevilles et un collier auquel il attacha l’habituelle laisse. Elle le suivit ...
    ... dehors sans rechigner. Dans la voiture, elle garda les yeux baissés et ne prononça pas un mot. Le trajet dura une bonne heure, pendant laquelle le seul bruit fut celui de la musique classique douce en provenance de l’autoradio. Gilles stoppa la voiture dans un quartier triste et morne. Il n’y avait pas âme qui vive. Elle le suivit dehors et ils entrèrent dans un bâtiment après que Gilles ait composé le code de l’interphone. Reliée à son maître par une chaîne, Élodie était heureuse et excitée. Où l’emmenait-elle ? Qu’avait-il prévu ? Elle s’en délectait à l’avance. Gilles, de son côté, appréciait le silence de sa soumise. Il aimait par-dessus tout lorsqu’elles savaient se taire. Il détestait les femmes qui piaffaient d’impatience et posaient mille questions auxquelles elles auraient de toute façon une réponse le moment venu. Ils traversèrent quelques couloirs, descendirent des escaliers desservant les sous-sols. Une porte, au fond d’un grand parking vide, s’ouvrit après que Gilles ait frappé. Un homme ouvrit et le salua. Comme la dernière fois qu’Élodie avait été dans cette position, les hommes ne lui prêtèrent aucune attention. Enfin, après un rideau, ils arrivèrent dans une pièce surchauffée à la décoration magnifique et attirante. Des coussins, des canapés, des fauteuils et une dizaine d’hommes qui étaient installés à discuter. Une musique d’ambiance douce se diffusait. Des femmes, habillées mais portant toutes au moins collier serti d’un anneau, étaient agenouillées en ...
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