1. Deux (13)


    Datte: 01/06/2021, Catégories: Hétéro

    De retour au Canada, je referai une tentative auprès de Tony pour la sodomie. Non. Ferme et définitif. Après quelques semaines difficiles, je reprends le cours de ma vie d’épouse et désormais, de mère. Je dois oublier Damien. Je cesse de me masturber et cesse tout contact avec lui. Quelques mois plus tard, je suis rassurée d’apprendre que Damien est en couple et qu’il va se fiancer. J’avoue une pointe de jalousie tout de même, mais je suis égoïstement contente qu’il ne soit plus célibataire. Sa liberté allait détruire mon couple car j’aurais voulu coucher avec lui à chacun de mes retours. J’obtiens de ses nouvelles via nos amis communs sans demander de détails pour ne pas éveiller de soupçons. Tony et moi avons un second enfant en 2005 et je cesse le travail que j’avais trouvé au Canada pour me consacrer à 100% aux enfants. Je suis heureuse de pouvoir les accompagner dans les premières années de leur vie. Jamais je n’aurais imaginé que je serais mère au foyer. Damien et moi nous croisons à deux reprises, en 2005 et 2007, chez Aline et Joël pour l’anniversaire de leur enfant. Même si cela me fait bizarre de le voir marié (en 2007) et heureux avec une autre, ces deux journées se passent bien et je ne ressens aucune perturbation. Ma situation de mère au foyer se renforce en 2009 avec l’arrivée de notre troisième enfant, mais cette naissance perturbe bien plus notre couple que les deux premières. Rapidement, mon mari et moi n’avons plus le temps, plus envie. Nous faisons ...
    ... rarement l’amour et quand nous le faisons, nous ne sommes satisfaits ni l’un ni l’autre. Et fin 2010, je ressens le besoin de me masturber à nouveau. Ayant jeté tous mes "jouets", je me rachète un gode. Mais surtout, mon imagination me fait revenir à Damien. Je m’achète un plug anal très vite après le gode. En pratiquant la masturbation anale, je retrouve un plaisir intense, oublié et divinement agréable. Je n’ai que plus de regrets de ne pas le faire avec mon mari. Car j’aime pratiquer la sodomie, je n’ai aucune honte à l’écrire ici. J’aime cette sensation extrême que je ressens, la confiance qu’elle nécessite et qu’elle me procure. M’abandonner à mon partenaire, le laisser pénétrer la plus intime partie de mon corps, le sentir aller et venir au milieu de mon ventre, observer son excitation décuplée quand il me pénètre. Ou lorsque je lui dis que j’ai envie qu’il "m’encule" (et non sodomiser). Et surtout, les orgasmes exceptionnels que j’atteins alors, particulièrement en double-pénétration. J’avoue sans problème que l’un de mes fantasmes serait de pratiquer la double-pénétration avec deux hommes. Mais je sais que je ne pourrais pas le faire avec des inconnus. Aujourd’hui, mon mari ne sait pas que je me masturbe et que j’ai plusieurs godes. J’ai hésité à faire en sorte qu’il me surprenne. Je n’ai jamais osé. Été 2011. Nous revoilà chez Aline et Joël pour les 10 ans de leur fille. Damien est là, en famille, avec ses deux enfants. Je sens dès son arrivée que cela sera très difficile ...
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