1. Deux (13)


    Datte: 01/06/2021, Catégories: Hétéro

    ... Je ne remets pas mon string car il est trempé. La suite est un martyr. Je mouille encore et encore. Je ne veux plus le voir, mais je ne veux pas partir. Je l’évite autant que possible mais j’ai envie qu’il me touche. Des désirs hallucinants me traversent l’esprit : le sucer au milieu de tous, faire l’amour dans le jardin, sur la table… J’ai peur de faire une bêtise. Je me force à penser à autre chose et j’essaye de discuter avec Karine, une copine. Je n’y arrive pas. Je vais m’isoler dans le jardin, faisant mine de m’occuper des enfants. Je m’allonge sur le ventre dans l’herbe et je peux alors laisser vagabonder mon esprit. Je me souviens de son incroyable vigueur quand, accroché à mes hanches, il me pilonnait en levrette, me mitraillant littéralement l’arrière-train. Je ferme quelques secondes les yeux et il me semble entendre ses hanches claquer contre mes fesses. J’ai des picotements de plaisir dans tout le corps. Mon mari ne m’a jamais prise aussi vite, aussi fort que lui. Aucun ne m’a fait l’amour comme lui. Damien. Pourquoi est-il le seul à n’avoir jamais senti que j’aimais être baisée ainsi ? Que parfois, j’aime qu’on me fesse, qu’on me tire les cheveux ? Qu’on me contraigne, qu’on me force un peu ? Qu’on me brutalise un peu, qu’on me traite de "vicieuse", de "cochonne" ou de "salope" ? Que j’aime qu’on martyrise ma petite chatte sans ménagement ? Que je ...
    ... raffole de double-pénétration ? Mon mari est à mille lieux de se douter de tout ça. Sa Muriel n’est pas celle de Damien. J’ai envie, j’ai tellement envie de lui, j’ai violemment envie de lui. Comme notre première fois durant mon année d’études à l’étranger. Je le vois, je le sens, je l’imagine. Damien est derrière moi, son sexe planté dans mon petit trou. Fermement accroché à mes hanches, il pilonne mon anus de grands coups de rein. Parallèlement à sa verge, un gros gode emplit mon vagin. Damien donne d’énergiques claques sur mon cul. Habillée d’une guêpière en cuir, de bas résilles et de talons aiguilles vertigineux, je frémis de plaisir à l’entendre me traiter de "sale pute"… Soudain, je frissonne violemment. J’ai tellement envie de lui que j’ai eu un orgasme. Juste avec l’imagination. C’est incroyablement agréable. Je meure de chaud. Il est temps de rentrer. Les jours suivants sont très compliqués et je ressens le besoin de me masturber plusieurs fois par jour. Même si cela se calme petit à petit, je sais que le danger sera désormais présent chaque fois que je reviendrai et cela ne me rassure pas du tout. Pour autant, je ne recontacte pas Damien et lui non plus. J’essaye de moins me masturber, car cela me ramène sans cesse à lui. J’y parviens assez bien malgré des rechutes de deux ou trois jours par-ci par-là. Mon sevrage dure jusqu’à la fin de l’année 2011. 
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