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La gêne et le plaisir - Partie 11 (Fin de Premier Cycle)
Datte: 02/06/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme
Le reste du temps fut une alternance entre sensations fortes et contrariété, sentiment qui grandissant de jour en jour. Un mois et une semaine après avoir signé le contrat, je me levais un matin avec la ferme décision de tout arrêter. Ras le bol, pensais-je en enfilant les premiers sous-vêtements qui me vinrent sous la main, sans prendre le temps de faire mes exercices. A la fac en passant devant un distributeur j’eu soudain envie d’un mars. Je pris ma monnaie et m’en achetais trois devant une pote médusée. - Tu craques ton régime ? J’avalais les trois, pour toutes ces semaines de régime obligée. Il est vrai que j’avais maigris mais j’étais contrariée devoir cela à mon Maître. A Damien. Il m’envoyait en règle général entre trois et cinq textos par jour. J’ignorais délibérément les trois qu’il m’adressa, puis ses appels. Après les cours, je suivis une pote chez elle qui se réjouis qu’enfin j’arrête d’être aussi studieuse pour venir passer du temps avec elle. Nous regardâmes une série tranquillement. Devant une scène sulfureuse m’apparut l’envie de me caresser. Je ne pouvais bien sur pas le faire chez elle, mais je tâchais de maintenir mon excitation pour mieux le faire plus tard. En papotant avec elle jusque tard, je goûtais avec plaisir ma liberté retrouvée. Il me semblait que mon esprit lui-même était libérée ; j’avais constemment l’impression d’être prisonnière de mes pensées, tournées vers mes devoirs ou vers des fantasmes omniprésents de BDSM. Pas un cours ne passait ...
... sans que me vienne à l’esprit l’envie d’être soumise et baisée par quelqu’un. Damien me maintenait dans cet état en m’envoyant me caresser aux toilettes, en me lançant des défis d’exhib la nuit ou de séduction à la fac. J’étais soulagée, soudain mes pensées vagabondaient vers des choses légères. Il y avait longtemps que je n’avais pas téléphoner à ma mère qui devait déprimer. Je m’engageais à me rendre à trois fêtes et en sortant passais à la supérette m’acheter du coca et des bonbons que je grignotais sur le chemin du retour. Il faisait presque nuit. Le chemin ne craignait pas, même s’il était quasiment désert. J’avisais une allée entre deux maisons, obscure et sans visibiltié depuis les habitations. J’allais au fond et me cachais derrière une poubelle. Je relevais ma jupe, baissais ma culotte et commençais à me caresser. Qu’est-ce que je faisais là, à une pareille, à me masturber ? Damien m’avait détraquée. Je me caressais en pensant involontairement à lui. Puis je rentrais, mauvaise mais satisfaite. Quand je rentrais, je pouvais voir qu’il faisait semblant de regarder la télévision. Je savais qu’il m’attendait. Il fondit sur moi en me voyant. - Qu’est-ce que tu as fabriqué toute la journée, petite chienne ? Je n’ai pas eu de nouvelle de toute la journée et tu rentres à 23h alors que tu devrais être couchée depuis longtemps. Il chuchotait pour ne pas être entendu de nos colocs. Il vit la bouteille de coca dans ma main. - C’est la journée de la rébellion ? se moqua-t-il. Tu ne ...