Dimanche salé-sucré
Datte: 02/06/2021,
Catégories:
ff,
fépilée,
Oral
init,
... de ma fente. Le jet sur mon clitoris était plus brutal que prévu et je reçus une décharge qui me coupa le souffle. Mais c’était délicieux. Avec deux doigts, j’écartai mes lèvres et allais recommencer… Mais non : les poils étaient trop désagréables. Et puis j’avais bien allumé la voyeuse qui avait descendu ses mains sur ses cuisses, si bien que je la soupçonnais de vouloir se satisfaire elle-même. J’arrêtai l’eau et pris une serviette pour me sécher convenablement. — Oh non, c’est pas fair-play, ça ! dit-elle avec un regard de chien battu. Je passai la serviette consciencieusement entre mes jambes, fermant les yeux pour l’aguicher encore un peu tout en essayant de me donner un peu de satisfaction aussi… j’en avais besoin maintenant. Mais il fallait continuer l’opération "déforestation". Elle m’invita à me rallonger sur la serviette. Je repris la pose et elle reprit ma serviette pour terminer de me sécher. — À partir de maintenant, tu ne bouges plus. D’accord ?— OK, répondis-je. Elle étala de la crème partout sur mon pubis. C’était froid, c’était visqueux ; mais fait par elle, cela devenait délicieux, doux, excitant. Je la regardais travailler. Elle était concentrée, sérieuse, mais je devinais sa faim, son envie de moi. — Si tu mouilles comme ça, je ne pourrai pas faire mieux que le tour de tes lèvres. Son ton était affamé, enflammé. — Ne me dis pas ça, ça m’excite encore plus !— Je le vois bien… et c’est réciproque : je vais aussi avoir besoin d’une serviette pour m’éponger. ...
... Il va falloir encore tenir cinq minutes. Elle avait fait son maximum pour couvrir mes poils restants. Je devais rester avec les mains sur les fesses pour les laisser ouvertes pendant le temps du désherbage. C’était à la fois inconfortable, désagréable comme position ; mais j’étais là, les cuisses écartées, à me dévoiler, m’exhiber pendant qu’elle laissait son regard se perdre entre mes seins et mon sexe. Elle était toujours sur ses talons, et je vis ses mains descendre d’un seul coup entre ses jambes. — Non ! Attends-moi ! J’étais alarmé, inquiète, je la voulais… — Ne t’inquiète pas, me dit-elle dans un murmure. Elle se mit à quatre pattes pour rapprocher son visage du mien. Je vis une de ses mains repartir vers son ventre. Elle descendit son visage près du mien, posa un délicieux baiser. Elle se retira à peine, laissant sa bouche proche de la mienne. Elle posa un doigt sur mes lèvres. Il était doux, salé, parfumé, glissant. Elle reposa ses lèvres contre les miennes en les caressant en petits cercles. Elle partageait son désir avec moi. Je ne pouvais pas bouger encore. Je sentis sa main repartir à la récolte du précieux nectar. Je l’attendais maintenant avec avidité, gourmandise. Mes seins me faisaient mal d’un seul coup, je sentis mon plaisir couler sur mon anus. Elle reposa son doigt sur ma bouche fermée. C’était incroyable de sensualité, d’érotisme. Elle devait être effroyablement excitée elle aussi. Je sentis mes lèvres recouvertes de sa liqueur. J’attendis son baiser, ...