1. Dimanche salé-sucré


    Datte: 02/06/2021, Catégories: ff, fépilée, Oral init,

    ... est, tu es toute lisse. Il reste encore deux-trois poils, mais c’est rien. Allons sur ton lit ; je vais te faire visiter ton nouveau sexe. Je n’avais pas encore eu le temps de me regarder que nous sortions déjà de la salle de bain. Arrivée dans la chambre, je me plaçai devant ma psyché et pus enfin me regarder. Isabelle était juste derrière moi et me souriait, fière d’elle, et semblait heureuse de me voir ainsi. Je découvrais mon sexe. Il n’était pas si mal, finalement ; mes grandes lèvres étaient peu marquées, et les petites ressortaient bien. Je préférais les petites lèvres cachées d’Isabelle, mais la vue de mon sexe lisse était assez excitante. J’allais poser une main sur mon pubis mais Isabelle m’en empêcha, m’attirant sur le lit. — C’est moi qui vais te toucher en premier. Tu vas voir : c’est trop bon d’être sans poils. Je me laissai entraîner sur mon lit et me plaçai le dos appuyé contre les oreillers, les jambes encore serrées, prête à accueillir ma jardinière préférée. — Tu as aimé mes baisers mouillés, tout à l’heure ? me demanda-t-elle en se rapprochant du lit tout en ondulant des hanches et en me regardant, plus gourmande que jamais. Rien que l’évocation de ces baisers me fit me mordre la lèvre. Je retrouvais la mémoire de son goût dans ma bouche, de la sensation de glisse de sa langue sur la mienne, sur mes lèvres. — C’était… Je ne trouvais pas mes mots. Je chauffais ; mon ventre et mon sexe remontaient en température. Elle continuait à se rapprocher et était ...
    ... maintenant à genoux sur le bout de mon lit ; moi, je fixais son sexe, à la fois si loin pour que je le touche, et si près pour que je le dévore du regard. Elle était maintenant juste à côté de mon visage, toujours à genoux. Elle s’assit sur ses talons et écarta ses jambes, me dévoilant de nouveau toute sa féminité. Je ne bougeais plus ; j’attendais qu’elle ouvre les hostilités. Elle plaça lentement sa main sur son sexe, et je vis son index la pénétrer. C’était si beau, si émouvant… Il entra en elle lentement et je devinai, j’imaginai la sensation de son vagin l’enserrant, l’accueillant, l’inondant de ce jus qui me devenait familier. J’entendis sa respiration, plus profonde, et le petit bruit de sa mouille lorsque son doigt commença à ressortir de son sexe. Son index était recouvert de ce liquide presque transparent. Elle le déposa sur mes lèvres avec toute sa douceur habituelle, mais avec un regard qui fit monter mon rythme cardiaque vers des sommets et me liquéfier au plus profond de moi. Elle bascula enfin son visage vers le mien, et ses lèvres vinrent étaler la cyprine sur les miennes. Elle n’appuyait quasiment pas sur ma bouche, et ses caresses étaient presque seulement dues à sa liqueur. Sa bouche glissa sur la mienne et je sentis sa respiration, intense, chaude, contre ma joue. Elle entrouvrit enfin ses lèvres, et sa langue poursuivit le doux travail de caresses. Je n’allais pas pouvoir tenir bien longtemps avec sa langue parsemant sa mouille sur mes lèvres. Je m’ouvrais ...
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