1. L e Sea Sex and S un


    Datte: 02/06/2021, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... prétendais pas rivaliser avec certaines bombes sexuelles ou puériles l****as. Néanmoins je déployais avec hauteur toute la panoplie de la garce de quarante ans qui augure de délices infinies à qui sait déguster un pareil plat. Pour dire les choses plus crûment certains cochons m'avaient fort distinctement repéré. Je n'en voulus pas moins par coquetterie et pour marquer mon territoire m'offrir le plus beau gosse du lieu. En l’occurrence un maître nageur de piscine. Un jeune grec au corps fin et musclé dont l'endurance tant que la technique me transporta au ciel dans son lit.Cette première piqûre me retapa tout à fait. Je n'en pouvais rester là. J’avais aimé cette longue queue épaisse dedans ma bouche et lui avait offert volontiers qu'elle m'entrât dans le cul. Il m'en fallait certainement d'autres. Chaque matin après que la gym m'eût infligé quelques souffrances salutaires et que je retournais à l'appartement prendre une douche, je croisais Salif le garçon d'étage procédant à la fois au ménage et à la surveillance. Il avait eu toujours un mot gentil pour moi notamment en ma période déprime. Sa drague était simple, délicate et toute surannée.Il n'avait rien de comparable avec l'adonis grec avec qui j'avais baisé. Cependant cet homme de soixante ans aux cheveux blancs, aux muscles noueux ne laissait pas de me troubler. D'autant que je l'avais vu un matin entrer dans la chambre d'une touriste américaine enserrant celle-ci par la taille. Repassant une heure plus tard devant ...
    ... ladite chambre, je ne pus m'empêcher d'apposer discrètement mon oreille contre la porte. Ils continuaient à baiser tous deux. Le Salif faisait montre d'une sacrée endurance. Je fus jalouse de l'américaine dont je percevais assez la jouissance ostensible.Ainsi ne pus-je peu après faire moins que de répondre sommairement au salut quotidien dudit Salif. Je crus inventer un conte. Je lui dis que j'entendais souvent un bruit étrange après être sortie de douche. Je pensais notamment à des bêtes dans mon faux plafond. Peut-être des rats. Mon mari se moquant de moi n'en croyait rien. Cependant j'avais besoin ce jour-là de l'avis d'un expert. Nous convînmes d'une telle heure où j'avais pris ma douche et où pourrait se reproduire les bruits étranges. Je conçus trop tard irresponsable mon initiative. J'escomptais l'éconduire et en rester là.J'eus du mal à cacher ma nervosité. Je tirais sur une cigarette. Il pouvait croire que les rats étaient cause de cette fébrilité. J'étais en peignoir blanc ayant fort peu au-dessous. Cuisses croisées j'étais engoncée dans mon fauteuil d'osier et le laissais faire. Il montât dessus un escabeau, tapotât sur une dalle du faux plafond puis prêtât l'oreille. Nous n'entendîmes rien. Décidément ces rats très avisés faisaient les morts. Salif affectant de croire à ma version me dit qu'il dépêcherait un matin durant ma gym, une équipe pour examiner le faux plafond et repérer présence ou crottes d'a****l.Je lui sus gré de son professionnalisme, je marquais mon ...