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    Datte: 02/06/2021, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... n'était point un vain concept. Pouvait-on concevoir autrement des vacances réussies du moins pour mon genre de garce ? Il me fallait à cette seule condition multiplier les expériences. Outre de repasser des fois au matin Salif indiquant le tuyau à deux trois de ses collaborateurs. Ainsi eus-je l'occasion de devoir assumer quelque matin deux bites ensemble. Les doubles pénétrations ne m'effrayaient pas. Au contraire. Salif passablement impressionné crut devoir m'en féliciter.L'après-midi je n'étais pas en reste. Un type qui me draguait depuis longtemps à l'insu de son épouse parvint à m'enlever dans sa berline. Il voulait me faire découvrir une crique charmante connue de quelques initiés. En fait c'était un lieu ou sévissaient naturistes et homos. Mon mari n'eût jamais osé m’emmener en un tel endroit. Je trouvais bon de baiser en ce lieu. Il me prit sans vergogne derrière un rocher. Me bourrant à fond le cul, il se vanta que j'étais la énième qu'il honorait ainsi derrière ledit rocher. Un gros type s'approcha de nous. Il lui fut proposé d'user et d'abuser de moi.Le soir même mon baiseur ne trouva pas moins ...
    ... de s'inviter avec son épouse à notre table que nous partagions avec d'autres. Je trouvais cela limite blessant et insolent. Il poussa le jeu jusqu'à sympathiser avec mon homme jusqu'à le défier pour un set de tennis. Il dit malignement : »Jouons nos femmes ! » Tout le monde rigola hors moi. Je goûtais peu ce genre d'humour. D'autant qu'il me faisait du pied à peu de pas de mon mari. Je voyais le moment où ce porc m’emballerait devant tout le monde. Pour le calmer plus tard je n'en dus pas moins baiser derrière son fameux rocher.La dernière semaine nous écumâmes régulièrement la boîte de nuit. Nous dansions jusqu'à trois heures. Mon mari disparaissait des fois une blonde au bras. Je crus m'autoriser à faire de même. Ma notoriété était grandissante. Je devais de plus en plus affronter le regard courroucé de quelques épouses. L'une d'elle me dit vertement qu’elle plaignait mon pauvre mari. Je fus tentée de lui répondre que le sien m’avait attrapé la veille en leur lit. Bref j’atteignais ici à une certaine gloire. Il était temps de partir. Salif eût droit le dernier à user la veille de notre départ à mon cul. 
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