1. La bourgeoise et le marabout (13)


    Datte: 03/06/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    Il y a trois jours, je me suis comportée comme une vraie salope dans la boutique de Monsieur Robert, une véritable bourgeoise dépravée accro au sexe. A la maison, avec mon mari, je joue à l’oie blanche qui a besoin d’être guidée et encouragée pour progresser sur le chemin d’une sexualité libérée. Aux paroles que prononce François chaque fois qu’il me prend au lit, je sais qu’il aimerait me faire brûler les étapes et devenir le véritable maître de cérémonie de mes longues soirées de fornication. Mais je souhaite le faire patienter, il ne faudrait pas qu’il devine trop vite que je suis déjà bien avancée vers le but qu’il s’est fixé, faire de moi une épouse bien salope dédiée aux plaisirs des mâles. Ce matin au réveil, alors que François est déjà parti au travail, je m’aperçois que j’ai reçu un SMS au cours de la nuit. Mon cœur bat la chamade alors que je le lis « Très chère Hélène, votre maître est de retour. RDV ce jour à 18h00 à mon cabinet ». Tandis que je lis et relis ces quelques mots, ma main se glisse sous ma nuisette, remonte le long de mes cuisses et mon index effleure la fente de ma chatte. Je m’allonge sur le lit et je commence à bien me caresser en écartant grand les jambes. Tout doucement au début, puis de plus en plus vite, mes doigts coulissent dans ma fente. De l’autre main, je me pince un peu les tétons qui durcissent rapidement me procurant un doux et subtil mélange de plaisir et de douleur. Je suis maintenant bien mouillée et mes doigts s’activent sur mon ...
    ... clitoris qui pointe fièrement comme un bourgeon au printemps. Une onde de plaisir me parcourt enfin et je reste de longues minutes sur le lit, les cuisses emprisonnant ma main toute poisseuse de mon plaisir solitaire. Après une bonne douche, je dois faire vite car je vais être en retard au travail. Je choisis avec soin la lingerie que je vais porter pendant la journée puisque je ne pourrai pas repasser à la maison avant d’aller à ma consultation. Je suis impatiente d’être à ce soir pour prendre la direction de Pigalle et, comme si c’était fait exprès, je vais passer la journée en longues réunions aussi ennuyeuses les unes que les autres. J’écoute d’un air distrait les différents intervenants et n’accorde que peu d’intérêt aux diverses présentations qui nous sont faites. Il est 17h30 et la dernière réunion se termine enfin. Je file à mon bureau pour ranger mes affaires et me remaquiller en veillant à bien dessiner d’un rouge vif le contour de mes lèvres et à redonner du volume à mes cils d’un petit coup de mascara. Puis je quitte le bureau, rejoint à pied la place de l’Etoile qui est tout près et m’engouffre dans la station de métro pour aller attendre sur le quai de la ligne 2 le premier métro qui m’emmènera vers la station Pigalle. Puis je remonte le boulevard de Clichy et j’arrive juste à l’heure, à peine essoufflée, au cabinet de mon marabout. Maintenant que je suis dans la salle d’attente, je suis rassurée et je ne suis plus à quelques minutes près ; je le sais là dans son ...
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