1. La bourgeoise et le marabout (13)


    Datte: 03/06/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... sur sa queue en lui tournant le dos. Monsieur Coulibadou vient maintenant sur le lit, se positionne face à moi et me caresse les seins de sa queue tandis que son assistant me tient bien par les hanches et donne de légers coups de bite pour m’ouvrir la chatte. Je suis de plus en plus excitée, de mes deux mains je resserre mes seins autour le sexe de mon maître qui semble apprécier cela et se penche vers moi pour me dévorer la bouche. Sa langue joue avec la mienne puis, à voix basse à l’oreille, il me murmure — C’est parfait Hélène, donnez-vous entièrement. Ne pensez qu’à votre plaisir et à celui que vous donnez. Etre une belle salope ne vous empêche pas d’être l’une des plus distinguées bourgeoises du 16ème arrondissement, bien au contraire. La queue d’Ahmed me fait un bien fou, je suis au bord de la jouissance et c’est entre deux gémissements que je lui réponds — Oui maître, j’ai envie d’être une salope, une vraie. Mais j’ai encore tant à apprendre de vous. En me souriant, il me dit — Dans quelques instants, Ahmed et moi allons vous faire découvrir quelque chose de nouveau qui, je l’espère, vous plaira. Puis, s’adressant à son assistant, il lui dit quelque chose dans une langue que je ne comprends pas. Je suis toujours bien assise sur Ahmed, mais voici que ce dernier se retire légèrement de ma chatte. Il glisse ses mains puissantes sous mes fesses et me soulève légèrement de telle sorte que seul son gland bien gonflé soit juste à l’entrée de mon sexe. Maître Coulibadou ...
    ... prend sa queue à pleine main et le voici maintenant qui joue à bien frotter son gland tout contre celui de son assistant. Je ferme les yeux tellement c’est délicieux de sentir ces deux sexes m’exciter la fente. C’est si bon que ma main droite descend sur mon ventre et je me mets à me caresser le pubis. Progressivement, les deux mâles accentuent leur pression et les deux glands s’introduisent un peu plus profondément en moi. C’est une sensation nouvelle que je ne connaissais pas, mes chairs s’étirent, mon sexe s’écarte, je suis brûlante et je mouille. Mon maître commence alors à faire quelques mouvements de bas-ventre et sa queue, entraînant celle d’Ahmed, progresse en moi. L’assistant a retiré ses mains de dessous mes fesses et me pétrit maintenant les seins en veillant à régulièrement me pincer les tétons qui se dressent. Monsieur Coulibadou a repris possession de ma bouche et me caresse le dos. Les deux hommes sont maintenant plantés au plus profond de ma chatte, je suis entièrement possédée par leurs deux pieux brûlants et j’éprouve un plaisir inconnu. Mon maître a maintenant accentué le rythme de ses coups de boutoir et il me besogne avec fougue. Les deux queues ne font plus qu’une en moi, comme un gros gourdin, et j’ai l’impression d’être prise par une bête sauvage affamée de sexe. Je me laisse aller, je ne suis qu’un objet de luxure qu’un monstre de chair habite. Je jouis et je jouis encore. Je me mords les lèvres pour ne pas crier ma jouissance. Soudain, voilà qu’un flot ...