1. La jeune agricultrice « Label Rouge »


    Datte: 03/06/2021, Catégories: fh, hplusag, jeunes, campagne, hotel, fête, voyage, douche, intermast, Oral pénétratio, champagne, humour,

    ... vais bientôt être trentenaire.— Je ne pensais pas que tu étais aussi vieux.— Ah, là, Mélanie, tu exagères ! À trente ans, on n’est pas encore vieux. Mélanie me dévisage en prenant tout son temps. Je sens une pointe de regret ou de peur dans son regard. Il est évident qu’un jeune ingénieur qui a déjà cinq ans d’activité a plus d’assurance et d’expérience de la vie qu’un étudiant, même en fin d’études : — Quand je t’ai vu tout à l’heure, je te donnais vingt-cinq ans maxi et je pensais que tu faisais un stage, me dit-elle, presque pour s’excuser.— Et donc que j’étais étudiant… Mais au fait, toi, tu as quel âge ?— Vingt ans, me tonne-t-elle avec une effronterie retrouvée.— Nous avons donc dix ans d’écart ; c’est à la fois beaucoup et peu. Je prends Mélanie par les deux épaules, je la regarde droit dans les yeux, puis je commence à faire glisser lentement mes mains vers le creux de ses hanches. Sa peau est particulièrement douce, de petits frissons parcourent son corps. Je profite de la situation pour lui lancer en boutade : — N’oublie pas que quand tu venais de naître, je jouais déjà au docteur avec les sœurs de mes copains.— Moi aussi j’ai joué au docteur, me réplique-t-elle aussi sec.— Oui ! Mais quand toi tu jouais au docteur, moi cela faisait déjà pas mal de temps que je jouais au papa et à la maman pour de vrai. Mélanie a des fesses très fermes et toutes rondes, un peu comme certaines femmes africaines. Je les prends à pleines mains, je les frictionne, je les malaxe, je ...
    ... les pétris, je les triture, je les maltraite quelque peu tellement je les serre fort. C’est un vrai plaisir de tenir une jeune fille aussi fraîche dans ses bras, une jeune fille aux fesses et aux cuisses « Label Rouge ». Ma fougue de fesses et de cuisses très provisoirement calmée, je me mets à laver Mélanie avec le gel douche de l’hôtel parfumé aux agrumes. C’est une odeur qui lui va parfaitement. Soudain, sans prévenir, elle s’éloigne de la douche et me dit, un peu affolée : — Il faut que je sois de retour dans deux heures, car je suis venue avec le cousin de mon père… Je n’ai pas de voiture.— Ne t’inquiète pas, Mélanie ! Je vais programmer mon téléphone pour le faire sonner à la bonne heure. Très curieusement, avec cette fille je ne sais pas très bien par où commencer. D’habitude, je n’ai pas ce problème avec mes quadras. Je suis l’élève et elles sont le professeur. Mais aujourd’hui, c’est l’inverse. Une autre chose m’étonne avec Mélanie : cette alternance d’aplomb et de manque d’assurance, voire de timidité. De plus, c’est bien la première fois de ma vie qu’une fille me demande de l’embrasser, sans préalable, au prétexte qu’elle n’a jamais connu d’étudiant en sciences. Soudain j’ai un doute : et si cette fille était pucelle, et si elle avait décidé de franchir le grand pas aujourd’hui en injectant toute son énergie ? En réfléchissant plus avant, je trouve mon hypothèse un peu bancale, car même dans le petit village de Lautrec, une fille doit avoir connu d’autres hommes à ...
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