Qui a dit que la pluie rendait triste ?
Datte: 05/06/2021,
Catégories:
fh,
Oral
La première rencontre ayant été fort mémorable, nous avions poursuivi notre correspondance avec régularité. Nous souhaitions nous rencontrer à nouveau mais nous voulions surtout trouver le lieu et le moment idéal pour assouvir nos pulsions. Après quelques échanges d’idées fort excitantes, nous ne parvenions toujours pas à nous décider. Je lui ai proposé de m’en occuper et de la surprendre le temps venu. Il n’a pas été difficile de la convaincre, car elle m’a avoué que le caractère inconnu de notre prochaine rencontre augmentait son excitation. Quelques jours plus tard, les détails de notre rencontre étaient fixés. Je ne voulais pas lui donner d’indices sur ce qui allait se passer, je lui ai simplement dit de se tenir prête en tout temps et de me faire confiance, car je lui avais préparé un rendez-vous de rêve. Une semaine et demi plus tard, un beau soir d’été, je l’appelle pour lui dire que tout est prêt. Je lui donne rendez-vous dans le Vieux-Montréal, le lendemain soir vers 22h. La seule autre indication, j’avais quelques demandes au sujet de ses vêtements. À titre d’exemple, je lui demandais de porter des trucs plutôt décontractés du genre des pantalons jeans. Le soir venu, comme il pleuvait abondamment, j’apportai mon parapluie pour ne pas débarquer tout trempé au précieux rendez-vous. Parvenu devant le Marché Bonsecours sur la rue Saint-Paul, je m’aperçus qu’elle était déjà là, abritée dans sa voiture. En me voyant, elle descendit de la voiture, je lui pris la main pour ...
... la diriger dans les profondeurs du Vieux-Montréal. Tout en marchant, les deux collés sous le parapluie, je sentais s’éveiller son appétit. Du bout des doigts, elle frôlait délicatement ma main, l’excitation était palpable, la tension sexuelle à son paroxysme. Arrivés dans une sombre ruelle, je lui dis simplement : « Viens, c’est par ici ! ». Je l’amenais dans un coin reculé, dissimulé par de nombreux escaliers de secours accrochés à l’arrière des bâtiments, de chaque côté. Là se cachait un escalier étroit descendant dans le sol et menant vers une sortie de secours. La main à la rampe, nous avons pénétré dans ce lieu à la fois ténébreux et inquiétant mais ô combien stimulant. La pluie intense formait une chute d’eau qui tombait directement au pied des marches. Un peu inquiète, elle me demandait : « T’es certain que… ». « Fais-moi confiance, y’a aucun danger qu’on soit dérangés. Cette bâtisse est abandonnée. ». Aussitôt dit, je refermais le parapluie et je la plaquais contre la porte, exactement sous la cascade. Elle enroulait ses bras autour de mon cou en m’embrassant avidement. Je glissais mes mains dans ses cheveux, déjà tout trempés. Ma bouche quitta la sienne pour se diriger vers son cou ruisselant. J’enlevai son imperméable et la lançai au sol. L’eau se déversant sur nos têtes, sa chemise eut tôt fait d’être imbibée me faisant apparaître la peau de ses bras et de sa poitrine. Encouragé par ses murmures, j’ouvris violemment sa chemise. Je vis qu’elle m’avait obéi car sous ...