1. Qui a dit que la pluie rendait triste ?


    Datte: 05/06/2021, Catégories: fh, Oral

    ... Je la pris par les épaules pour rythmer la cadence mais elle me signifia rapidement qu’elle voulait elle-même avoir le contrôle. Je la lâchai aussitôt et je la laissai faire. Telle une amazone aguerrie, elle bondissait frénétiquement sans jamais laisser échapper mon membre de son corps. Nos têtes projetées vers l’arrière par ces moments de pure jouissance rendaient nos visages à la merci de l’averse. Pendant que je posais mes mains sur la courbe de ses hanches, elle faufilait les siennes dans ses cheveux, descendant le long de son cou, s’attardant un peu plus bas sur sa poitrine, avant de glisser audacieusement vers son sexe. Une main malaxant généreusement ses seins alors que l’autre stimulait énergiquement son clito. Rapidement, elle fut submergée par un orgasme tout aussi étendu que puissant. Après avoir ralenti la cadence, elle se leva et se pencha vers l’avant afin de m’offrir le merveilleux spectacle d’un cul si sublime. En appuyant ses deux mains contre la porte, elle retourna sa tête vers moi pour me lancer un sourire démoniaque en guise d’invitation. La cascade coulait abondamment sur elle, une vision du paradis. Sans attendre, je me retrouvais debout derrière elle, prêt à m’insérer dans son corps. Débutant par une pénétration lente et profonde, je pouvais cajoler la peau de ses hanches, de son dos et de son cou. En accélérant le rythme, je la pris par les épaules afin de la baiser bien en profondeur. Elle semblait y prendre un plaisir fou, car elle se retournait ...
    ... pour me regarder et me supplier d’aller plus loin et plus vite. Tout en accélérant, je la retenais contre le mur. Le visage plaqué à la porte, elle arborait une expression à la fois d’inconfort et de satisfaction. Peu de temps après, je décidai de reculer un peu afin de lui laisser un peu d’espace. Toutefois, pour bien me faire comprendre qu’elle en voulait encore plus, elle m’empêcha de me retirer en pressant ses fesses contre moi. En réponse, j’agrippai ses cheveux imbibés et je poussai avec fermeté sa tête vers l’avant. Sa poitrine abondante se balançait au rythme des chocs. Un de ses seins se ballottait librement et m’invitait à intensifier les impacts. Je décidai de délivrer l’autre en retirant la dernière bretelle. Prisonnière de mes coups de bassin et de son propre plaisir, elle fut saisie d’une violente et libératrice jouissance. À ce moment précis, elle me repoussa avant de s’agenouiller devant moi. En me branlant énergiquement la queue, elle précisait clairement ses intentions. De cette façon, je pouvais l’admirer dans toute sa splendeur; la chevelure complètement trempée, le regard amusé et le sourire satisfait. La pluie tombait toujours aussi abondamment sur nos corps exténués. Pour un instant, j’ai souhaité que cette douce euphorie n’arrête jamais. Ce vœu était toutefois incompatible avec la puissance de mon plaisir. J’eus tôt fait de baigner sa poitrine de ma semence. Toujours avec ma queue dans sa main, elle le frotta langoureusement sur ses seins dégoulinants. ...