1. La Muse (22)


    Datte: 06/06/2021, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... paroles, mais je sentis ma chatte s’humidifier instantanément et mon jus couler entre mes cuisses ; ce mec me dominait. Un terrible picotement dans mon ventre me fit changer d’avis : « Laisse-le faire, Jen ; tu adore ça, avoue-le ». Oui, j’adorais cela tout à coup. L’idée de me faire prendre par derrière dans le métro, par un inconnu, m’avait tout simplement retourné la tête ; c’était terrifiant, mais tellement jouissif mentalement que je décidai de subir cet attouchement. Sa main écarta mes fesses et guida son membre dur qui se glissa dans mon entrejambe trempé et alla chercher ma cyprine. — Et tu mouilles, salope... Tu aimes te faire baiser ? Tu vas voir comment tu vas jouir ! reprit-il en enduisant sa queue de mon jus. Dans un virage brutal, son membre entra d’un coup sec dans mon anus ; mes doigts se crispèrent autour de la barre, mon souffle devint court ; mon ventre criait « Encore ! » Les mouvements de la rame suffirent à faire coulisser cette bite inconnue qui me donnait ce plaisir aussi imprévu que soudain. Au moment où elle cracha son venin en moi, cramponnée des deux mains à la barre, je fus prise d’un étrange orgasme. Je serrai tout : la barre, les dents, et le fesses comme pour l’empêcher de sortir. Les mouvements du métro qui freina brutalement fit entrer cette bite au plus profond de moi et accélérer, puis sur un coup frein brutal et un passage d’aiguillages, la bite sortit de moi. La rame s’arrêta et l’homme disparut. Moi qui aime jouer avec les autres, je me ...
    ... suis retrouvée prise à mon propre jeu. — Jen, tu te sens mal ? hurla Caro. Le non de la tête que je lui rendis lui suffit. Après avoir parcouru les couloirs interminables du métro où tout le monde court après le temps, nous arrivâmes enfin à ce fameux salon. Encore toute retournée par ce qui venait de m’arriver et voyant ma tête, Caro me questionna à nouveau : — Tu n’es vraiment pas bien ; qu’as-tu donc ? Le rouge jusqu’aux oreilles, je lui chuchotai à l’oreille : — Un type m’a enculée dans le métro. — Non, c’est pas vrai... Raconte ! répondit-elle en éclatant de rire. Après contrôle de nos invitations dont le maître était le seul détenteur, nous pénétrâmes dans une immense salle. Des stands présentaient des livres étalés en vrac ou bien rangés les uns à côté des autres sur des tables ; d’autres, empilés à même le sol, ressemblaient à la tour de Pise. Maître Georges nous dit que nous pouvions découvrir les lieux ; sitôt dit, sitôt fait ! Nous nous lançâmes à la découverte de ce salon qui, je pensais, allait nous faire découvrir tout un tas de belles choses. Alors que nous flânions un peu au hasard, mon regard s’arrêta sur une expo de photos de nus. Des photos de filles toutes plus belles les unes que les autres, dans des postures parfois érotiques, parfois un peu plus osées, attendaient qu’un regard s’arrêtât sur elles. Je m’arrêtai pour les regarder en détail ; nous fûmes abordées par un homme accompagné d’une jeune femme. — Bonjour ; je peux vous présenter mes clichés ? — ...