Plaisirs SM
Datte: 08/11/2017,
Catégories:
fhhh,
extracon,
sauna,
boitenuit,
cérébral,
Oral
pénétratio,
fdanus,
attache,
yeuxbandés,
fouetfesse,
init,
humour,
... jamais. La main se fait douce et remonte lentement vers mon entrecuisse, là où… je sens l’excitation venir lentement, contre ma volonté, la main s’approche de mon sexe… un léger tremblement s’empare de moi… puis la main s’éloigne, la tension redescend. La salle est plongée dans le silence, je perçois juste des frôlements, des bruits de pas étouffés par le tapis, quelquefois, c’est une respiration un peu plus forte. Tout à coup, deux mains qui se posent franchement sur mes hanches… De surprise, je me cabre, mais les sangles m’immobilisent. Les mains commencent à caresser mes flancs, mon dos et doucement, remontent jusqu’à ma nuque, qu’elles pétrissent un peu. Elles redescendent maintenant et viennent caresser mon ventre, pour remonter ensuite sur mes seins, qu’elles empoignent sans douceur. Je gémis doucement. Ce sont mes mamelons qu’on pince maintenant, je les sens durcir malgré moi. L’excitation monte lentement le long de mon ventre, je sens que je commence à être tout humide, ils doivent le voir. D’autres mains se posent sur moi. Combien sont-ils ? Difficile à dire ! J’ai entendu s’ouvrir la porte, il n’y a peut-être pas que mes trois complices. Peut-être y a-t-il pas un autre homme, ou deux… je ne sais pas, je ne veux pas le savoir. Les mains me caressent sur tout le corps à présent. Sentir cette multitude sur ma peau, me rend folle, ma chatte est devenue brûlante… je coule comme une fontaine. Soudain, des lanières froides courent sur mes fesses. Un fouet ? Plutôt un ...
... martinet ! Pas ça ! Je vais pour tout arrêter, quand une voix étouffée, que je ne reconnais pas, ou plus : — Monica, à présent tu vas connaître autre chose. Quelque chose de plus pervers, de plus excitant aussi. Laisse-toi aller, n’aie pas peur, soumets-toi à nos envies et tu verras que la douleur te mènera jusqu’au plaisir. Acceptes-tu ? Mon cœur bat la chamade, je n’aime pas la souffrance, j’en ai horreur, mais en même temps je suis prise au piège de leurs fantasmes, qui peu à peu deviennent les miens. Je m’entends répondre dans un souffle : — Oui ! J’en ai envie ! o-o Les lanières ont repris leur course sur ma peau à présent perlée de sueur. Elles se promènent sur mon dos, sur mes épaules, redescendent, s’égarent sur mes reins pendant quelques secondes, puis se retirent. C’est encore une fois ce silence qui ne me dit rien qui vaille. J’essaye de deviner les présences autour de moi, je suis à l’affût du moindre bruit qui pourrait me renseigner. Et soudain, la brûlure des lanières qui s’abattent sur mes fesses. Je tressaille en criant de surprise. Si la brûlure est supportable, elle est assortie d’un sentiment d’injustice. — Monica, tu es punie pour ce que tu as accepté de faire tout à l’heure dans les Glory holes, continue la voix. As-tu conscience de mériter une punition ? La douleur s’estompe, mais le trouble m’envahit. Je suis nue, attachée, aveuglée, offerte à la lubricité de mes tourmenteurs, et même si je sais que je ne risque rien, mon imagination fait le reste. Mais je ...