1. Plaisirs SM


    Datte: 08/11/2017, Catégories: fhhh, extracon, sauna, boitenuit, cérébral, Oral pénétratio, fdanus, attache, yeuxbandés, fouetfesse, init, humour,

    ... tiens à continuer, à aller plus loin dans ce jeu dérangeant. — Oui ! Ma réponse peine à passer mes lèvres. — Alors, tiens ! Les lanières me cinglent à nouveau les fesses, sèchement cette fois. Je me cabre à nouveau sous la douleur, la morsure du cuir sur ma peau est vive, mais je serre les dents, stoïque. Je ne céderai pas ! Les lanières reviennent et caressent maintenant mes fesses, s’attardant le long de mon sillon, puis remontent lentement vers mes reins, presque sensuellement. Et c’est de nouveau le sifflement du martinet qui s’abat sur moi. Cette fois-ci, les coups se succèdent, désordonnés, me laissant à chaque fois surprise par l’explosion de la douleur, sans que je puisse anticiper le claquement suivant. Mes fesses se crispent violemment à chaque coup que je reçois, je tire sur mes liens, je secoue la tête. Mes chairs me cuisent, mon cerveau est en ébullition, je me sens prisonnière des pulsions qui me poussent à accepter ces sévices, la curiosité du départ se muant lentement en acceptation. Je subis cette violence, même relative, avec l’impression qu’elle m’apporte la plénitude qui manquait à ma sexualité. Je perds ma normalité ! Le calme revient, inquiétant. Et toujours ce silence troublé par les frôlements de mes « tortionnaires ». Je m’attends à une nouvelle volée cuisante, mais les lanières reviennent me caresser les reins, longuement. Je me détends, la punition est finie ? J’attends qu’on me libère… — Aaaaaahhh ! Cette fois, c’est plusieurs coups bien appliqués ...
    ... qui se succèdent rapidement sur ma croupe. Les salauds ! Ça brûle, j’ai chaud, mon corps est secoué de spasmes. La douleur est vive, mais des sensations inconnues m’envahissent. Je sens peu à peu se profiler le plaisir derrière la douleur, mon sexe est trempé, il inonde mes cuisses. Je deviens folle, je commence à aimer ça, ils le voient. Je me mets à trembler, j’ai honte soudain. Que vont-ils penser de moi ? Que vais-je lire dans le regard de Rémy, de mon amour. — Stop ! Arrêtez ! Ça suffit ! J’ai craqué ! Des lèvres se posent sur les miennes, et c’est un baiser passionné qui vient apaiser mes tourments. — Je t’aime Monica, me souffle Rémy. La punition est levée !— Tu es… vous êtes des…— Je sais, mais tu as accepté ce jeu, mon cœur, et si ça peut te rassurer, je ne l’aurais pas laissé aller plus loin.— Tu en es sûr ?— Oui !— Libérez-moi à présent !— Pas encore ! Après la punition, tu vas avoir une récompense.— Quoi !— Nous allons te faire l’amour, nous ne pouvons pas te laisser dans cet état d’excitation.— Détache-moi, Rémy !— Non, fais-nous confiance, tu vas avoir beaucoup de plaisir. Je te le promets ! Des pensées contradictoires s’entrechoquent dans ma tête, je me perds dans un univers de sensations dont certaines me dérangent. L’amour, le désir, le plaisir, la passion, la volupté, puis l’abandon du « carcan » de la morale : la luxure, la domination, la soumission, la recherche du plaisir dans la douleur, la relation maître-esclave et pour ces deux-là, la déformation de ...
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