Le repas est servi, Maître !
Datte: 06/06/2021,
Catégories:
fh,
couple,
couplus,
fsoumise,
hsoumis,
hdomine,
Oral
sm,
fouetfesse,
init,
couple+h,
fsoumisah,
... Soumise. Karl nous invite à passer directement au salon pour prendre l’apéritif. Son œil pétille à la vue de la cravache que je dépose sur la table du salon. Nous commençons à échanger quelques impressions sur nos activités professionnelles lorsque Sylvie arrive avec un sceau à champagne et trois flûtes. Elle prend place dans le fauteuil en face de Karl et, tout en remplissant les trois flûtes de champagne, prend part à la discussion. – Soumise, venez vous placer à genoux à mes côtés. – Oui, Maître. Docilement, elle se lève et me rejoint. Elle plie les genoux sur le tapis moelleux du salon, se tient droite et place en un réflexe ses mains jointes dans le dos. – Soumise ! Vous ai-je autorisé à prendre place dans ce fauteuil ? – Non Maître. Je vous supplie de bien vouloir me punir pour cette faute. – Soumise ! À qui sont destinées ces trois coupes de champagne ? – Il y en a une pour vous, Maître, une pour Karl et une pour… mince, punissez-moi aussi pour cette erreur, Maître. – Et enfin Soumise, de quel droit prenez-vous part à la discussion ? – Je ne suis pas digne d’être votre soumise, Maître. Je vous prie de me corriger. – Vous rendez-vous compte qu’en peu de temps vous avez accumulé les fautes qui vous valent pas moins de trente coups de cravache ! – Oui, Maître. Je les mérite. J’aime quand vous me corrigez. J’en arrive même à avoir des orgasmes ! – Ce ne serait plus de la correction mais de la torture et pour l’instant vous n’êtes pas prête ! Là, je mens, car Sylvie est ...
... plus que prête à se faire flageller au sang, mais sa volonté de progresser à en brûler les étapes la rend insolente, ce qui ne peut être permis pour une Soumise. Je dois trouver un stratagème. Je ramasse la cravache posée sur la table. Tout en se calant confortablement dans son fauteuil, Karl est des plus attentifs quant au déroulement de la suite des évènements. – Soumise, veuillez ouvrir la bouche. Elle s’exécute immédiatement et je lui place la cravache en travers de la bouche, comme on mettrait un mors à un cheval. – Tenez-moi cette cravache avec vos dents uniquement ! Attention, vos lèvres ne doivent pas se joindre, nous devons constamment voir vos dents enserrer la cravache ! Je fixe le regard de Karl. Il est tout sourire mais ne devine pas mes intentions. Je laisse planer de longs moments de silence tout en fixant Karl. Il n’ose briser ce silence pesant, il me laisse bien maître de la situation. Les minutes de silence s’égrènent, rendant Karl mal à l’aise. Tantôt il me sourit comme s’il était mon complice, tantôt son visage devient grave attendant la sentence de la suppliciée. La salive de Sylvie dégouline à flot le long des commissures de ses lèvres. Cela est dû à l’inconfort de tenir la cravache uniquement avec ses dents. Je dirais même qu’elle bave comme une chienne. Le haut de sa robe en est tout maculé. Karl roule des yeux de moi à sa femme et en transpire de curiosité. Je récupère la cravache des dents de Sylvie, elle est toute mouillée de sa bave. Sylvie est fière ...