Beurette
Datte: 07/06/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
Oral
pénétratio,
Mes parents m’ont laissé, en proche banlieue de Paris, un petit immeuble au pied duquel se trouve l’épicerie dans laquelle ils ont passé leur vie. Cette boutique (comme la plupart) a été reprise par une famille marocaine, le père, la mère, une fille, Zita, et deux frères plus jeunes. Depuis quelques années, je vois Zita grandir et devenir une belle jeune fille. Pas de sorties, sitôt le lycée terminé elle est au travail au magasin. Son seul divertissement semble être la lecture des magazines en vente, ce que ses parents lui reprochent souvent. J’aime bien plaisanter avec elle, la complimenter, parler de ses études. Nous avons ainsi atteint une certaine connivence. J’occupe le deuxième étage, mes parents ayant gardé le premier, bien qu’ils n’y viennent jamais. Directeur de thèse, je travaille souvent chez moi, où je reçois pas mal d’étudiants et " d’étudiantes ", et de copines, étant célibataire et volage ! Vacances de Pâques. Dans le grand grenier, je cherche un dossier dans les archives que j’y ai installées. Zita y vient pour étendre le linge. Son père est au café avec ses copains, ses frères au centre aéré, sa mère sommeille dans l’épicerie désertée à cette heure. Je la charrie un peu, lui demandant si elle a un amoureux. Tristement, elle me répond, que jamais elle ne peut sortir, qu’elle n’a ni copine ni surtout de copain, qu’elle envie le mode de vie des autres filles qu’elle ne connaît que par la lecture des magazines. Qu’elle envie ma liberté de vie, les filles que je ...
... reçois et dont, depuis le grenier, elle a entendu certaines dans le plaisir. Elle s’est rapprochée de moi et, à ma grande surprise, elle me demande de l’embrasser. Elle a dû lire la technique car elle y va de bon cœur. Complètement collée contre moi. Son premier baiser, me dit-elle. Je continue de l’embrasser fougueusement et je commence à la caresser. Elle porte une robe longue bien fermée, à la marocaine, mais au travers du tissu je sens ses formes de jeune fille en pleine santé. Elle a des seins biens formés, hauts et fermes, de même que ses fesses. Je commence à relever sa robe mais d’un seul coup elle me repousse et s’enfuit. Belle occasion manquée, mais elle a mis le feu… Le lendemain je guette sa montée au grenier et la rejoins. Elle s’excuse, disant qu’elle a eu tort, qu’elle en avait envie, mais qu’elle regrette car elle ne pourra pas aller plus loin. Je lui explique que je connais parfaitement les contraintes des jeunes filles de sa culture, mais que beaucoup trichent et qu’un homme et une femme peuvent se donner du plaisir tout en respectant la virginité sacrée. Mon discours l’intéresse, elle ne pensait pas qu’un homme qui avait beaucoup d’aventures comme moi puisse se contenter d’une rencontre sans exiger la totalité. Je la prends dans mes bras et l’embrasse, de nouveau elle se laisse faire et très vite participe très activement. Je sens qu’il n’y a pas que moi qui ai le feu et qu’elle a très envie. Je lui caresse le mont de Vénus par dessus sa robe et elle écarte ...