Beurette
Datte: 07/06/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
Oral
pénétratio,
... clito et parviennent à la faire jouir. Il faut abréger car elle a peu de temps, elle remonte ses cuisses, elle est drôlement souple et m’offre son petit trou, un peu plissé bien brun tout mignon. Mon désir est à son comble et vu la taille que j’ai atteinte elle va me sentir passer. Je propose un préservatif mais elle a confiance et veut me sentir. Elle me dit du reste qu’elle s’est préparée avec un peu d’huile d’olive parfumée comme elle a lu qu’il fallait faire. Je m’allonge sur elle et très vite je trouve le bon endroit. J’y vais tout doucement, m’inquiétant de sa souffrance mais elle est courageuse et décidée, serre les dents et facilite l’entrée au maximum. Bien au fond ! Elle est plus étroite que beaucoup, et j’adore. Je commence à aller et venir, très vite elle pige le mouvement et serre les fesses au bon moment. Elle est vraiment très musclée et j’y prends un des plus grands plaisirs de ma vie. J’inonde son petit tunnel, elle a bien senti, ça coulisse facilement. Elle est contente, elle se sent presque une femme, moi j’ai tiré un des meilleurs coups. Nous nous séparons très vite : à demain pour remettre ça ! Raté ! Le petit frère s’est fait une entorse et ne va pas au centre aéré. Impossible de se revoir pendant les vacances. Le lycée repris, pas de possibilités de rencontres. Juin est là, je ne la vois que dans la boutique. Elle a bien travaillé et passe en terminale S avec des résultats excellents. Un soir, on frappe à ma porte, c’est Zita, elle est en larmes et ...
... très énervée. Sa mère lui a avoué qu’au mois d’août, pendant les vacances au bled, ils allaient la marier, que tout était arrangé. Elle est désespérée et prête à tout. Je l’assure que je ne la laisserai pas tomber que j’allais essayer de faire quelque chose. Coup de fil à la collègue, ex-copine et militante féministe, elle met en branle les relations et deux heures après, elle arrive. Une copine juge pour enfants a fait vite, elle a trouvé une association d’accueil. Le lendemain, je suis à la porte du lycée, j’explique la solution à Zita, qui accepte immédiatement avec soulagement. Elle mettra au grenier un sac avec les affaires, qu’elle pourra prendre, que je récupèrerai, et l’association la récupérera demain à la sortie du lycée. Le sac n’est pas bien gros ! Tout se passe bien. Zita m’embrasse, me remercie monte dans la voiture et part avec ma collègue. Destination inconnue… Zita m’a appelé quelques jours plus tard, elle avait été prise en charge et, pour l’été, gardait les enfants des participants à des stages sportifs en un lieu que même moi ne pouvais connaître, sécurité oblige. Grand drame dans sa famille, avec cris, pleurs, malédictions. Plainte à la police, sans suite. Zita les a appelés un soir, pour les rassurer et expliquer sa disparition, ce qui n’a fait que redoubler la colère de la famille. Elle a passé l’année dans l’internat d’un lycée, je lui ai fait passer régulièrement un peu d’argent de poche. Quelques coups de fil pour donner son actualité. La Terminale ...