Bientôt gouine
Datte: 07/06/2021,
Catégories:
f,
ff,
fplusag,
fagée,
enceinte,
grosseins,
poilu(e)s,
magasin,
Masturbation
intermast,
Oral
69,
fgode,
uro,
ecriv_f,
... Celle-ci me tendit une main parfumée, bijoutée, très douce, et me sourit gentiment. Je sentis un autre frisson me parcourir, et je me surpris à rougir légèrement. Marina me proposa 2 tailleurs à essayer, tandis qu’elle épinglait la robe noire de sa cliente. Je rentrai dans la cabine d’essayage, encore troublée de ce contact. J’avais un désir fou de lui parler et d’être seule avec elle. N’ayant jamais eu de rapport avec des femmes, mise à part la masturbation privée avec mes magazines lesbiens, je me renfermais de plus en plus dans une solitude sexuelle. À 56 ans, j’avais encore honte de mes désirs… Otant mon tailleur, qui avait laissé des marques rouges sur ma peau, je pris la jupe du nouveau tailleur pour l’essayer. Je me regardais dans le miroir. Ma poitrine énorme débordait de mon soutien-gorge trop serré, mon ventre tombait, cachant presque mon slip, qui voilait à peine ma toison drue et super abondante (Elle n’avait pas vu le rasoir depuis des années). Fermant les yeux, le cœur battant car j’entendais les deux femmes rire et discuter, je baissai les bretelles de mon soutien-gorge. Un sein lourd jaillit, d’une main j’en pinçai le téton, large et foncé. Stimulant la pointe maintenant dure comme du fer, je la fis tourner entre le pouce et l’index avec force. De l’autre main j’écartai mon slip, fouillant ma jungle pour arriver à ma vulve érigée. Ma chatte était inondée, ma liqueur visqueuse hydratant mon bouton que je masturbais furieusement, en torturant mon bout de sein. ...
... J’imaginais la belle cliente écartelée sur la moquette du magasin, ma tête entre ses grosses cuisses, ma langue lui léchant goulûment l’entrecuisse… Je l’imaginais complètement épilée. Rien qu’à l’idée de brouter son con potelé, mon orgasme surgit, par saccades, mon foutre gicla sur ma culotte. J’étouffais mes halètements de plaisir, me ressaisis et enfilai en vitesse le tailleur à essayer. — Alors, me demanda Marina ? La cliente était sur le point de partir. Je dus me faire violence pour ne pas succomber à la tentation de lui demander son adresse. Mais comment aurais-je justifié cette attitude ? Et qu’aurais-je fait de cette adresse ? J’avais hâte de payer Marina pour le tailleur, hâte de me retrouver seule dans la rue pour prendre l’air, pour me ressaisir… Jamais de ma vie je n’avais ressentis un tel trouble en présence d’une femme. … Arrivée chez ma voisine, j’introduisis la clé dans la serrure, sachant qu’elle était seule et qu’elle devait rester alitée l’après-midi ainsi que son médecin le lui avait prescrit. Il y avait une petite lumière dans la cuisine, j’entrai à pas de loup, le cœur sur la main, croyant avoir entendu un gémissement, une plainte étouffée. Le spectacle qui m’attendait me laissa bouche bée. Sylvie, en robe de chambre, les pans largement ouverts et qui laissaient entrevoir sa grosse poitrine aux tétons larges en lactation, prenait à pleine bouche l’énorme queue d’un illustre inconnu. À genoux devant lui, elle le tétait avec un rythme régulier, les yeux ...