Bientôt gouine
Datte: 07/06/2021,
Catégories:
f,
ff,
fplusag,
fagée,
enceinte,
grosseins,
poilu(e)s,
magasin,
Masturbation
intermast,
Oral
69,
fgode,
uro,
ecriv_f,
... fermés. Et ce bellâtre lui fourrait sa queue dans la gorge, ses grosses mains triturant les énormes mamelles, qui dégoulinaient de lait sous la pression. Je ne savais pas quoi faire, et décidai de repartir chez moi, lui laissant les emplettes. Mais la vue de ces pis splendides me fit perdre la tête, et je voulais encore m’en régaler un peu. Ma voisine avait gardé son slip, légèrement écarté de côté, pour lui permettre de stimuler ses lèvres et son doigt taquinait sa vulve grossie par le désir. J’eus soudain peur qu’ils commencent à faire l’amour. Je me dirigeai sur la pointe des pieds vers la porte de sortie lorsque j’entendis Sylvie appeler : — Brigitte ? Rougissant, je revins vers la cuisine. L’homme avait disparu, Sylvie avait rajusté sa robe de chambre tachée de lait. — Pardon Sylvie, je ne voulais pas vous déranger.— C’est moi qui te demande pardon, j’ai eu de la visite… Euh, tu comprends, cela faisait très longtemps que je n’avais pas fait un câlin. C’est un ami d’enfance… Je la rassurai en l’embrassant tendrement. Me lavant les mains, je me mis au travail pour l’aider à préparer son dîner. J’étais fatiguée… et si seule… La vue de la queue splendide de cet amant puissant m’avait fait mouiller un tant soit peu. Quelle joie, pensais-je tout bas, « J’ai 56 ans, je fantasme sur les femmes et n’en ai encore brouté aucune… » Les quelques bites que je m’étais fourrées depuis mon divorce n’étaient qu’un souvenir lointain… Mon désir de sexe s’intensifiait, devenait obsédant. ...
... J’avais hâte de rentrer chez moi pour me godemicher comme d’habitude. Soudain, l’homme fit irruption dans la pièce, douché et légèrement parfumé. Il me salua et me complimenta pour mes talents culinaires. D’un autre côté, il ne quittait pas Sylvie des yeux. Elle lui sourit, et il entoura ses épaules d’une main. Il l’embrassa sur le front, sur la joue, sur les épaules. Gênée, je fis mine de sortir de la cuisine mais il m’intima l’ordre de continuer ce que j’étais en train de faire, en plaisantant. Du coin de l’œil, je les observais, ma chatte en sueur, mes tétons durcis me faisaient mal. Il embrassait Sylvie maintenant à pleine bouche, sa langue plongeant à l’encontre de celle de ma voisine, qui répondait volontiers à son baiser. Il se dégagea soudain de son étreinte et vint vers moi en souriant. — Elle est très chaude votre amie et je suis impatient de la baiser ce soir. Son corps me rend fou. Rien qu’à la regarder avec son ventre tout rebondi je bande comme un cerf. Elle double la taille de ma bite rien qu’à me sourire. Gênée par ces propos très crus, je balbutiai des bêtises, en rougissant. Il m’entraîna dans le salon et me proposa un apéritif. Je sentais son regard vicieux me déshabiller du regard. Ça devait être le genre de type à sauter sur tout ce qui bouge. Sylvie, de son côté, avait disparu dans sa chambre pour s’habiller. Près du poste de télévision, quelques cassettes vidéos étaient étalées, en désordre. Je regardais machinalement les titres, pensant pouvoir en ...