1. Bientôt gouine


    Datte: 07/06/2021, Catégories: f, ff, fplusag, fagée, enceinte, grosseins, poilu(e)s, magasin, Masturbation intermast, Oral 69, fgode, uro, ecriv_f,

    ... emprunter une ou deux pour un soir. Je fus choquée de voir que tous étaient des films pornos. — Elles sont à moi. Les films de cul vous intéressent, me demanda-t-il en me tendant mon verre. Je rougis à nouveau. J’avais l’impression qu’il allait se jeter sur moi d’un instant à l’autre. Le pire c’est que s’il l’avait fait je me serais laissé volontiers faire et de bonne grâce, avec envie. — Euh.— Allez-y, servez-vous si ça vous tente, je vous les prête, ne faîtes pas la timide, on sait ce que c’est les cochonnes ! Vous n’aurez qu’à les rendre à Sylvie après usage. Et il me jeta un clin d’œil des plus vicieux. J’avais repéré un titre : « Les vieilles brouteuses », il avait en couverture deux femmes mures, les cheveux argentés, tendrement engagées en un baiser profond, nues toutes les deux. Les autres films étaient de facture plus classique. J’en pris deux autres au hasard pour ne pas avoir l’air. — Y-a pas de honte à se faire du bien, n’est-ce pas Sylvie ? Ajouta le bel amant en regardant ma voisine qui venait de revenir. Sylvie, rougissant, m’expliqua que c’était Gérard qui aimait ce genre de films. Le dit Gérard, son ami d’enfance, nous laissa peu de temps après. Il devait aller changer sa voiture de place car il avait peur d’attraper un PV. Sylvie m’avait donné une petite pochette pour mettre mes trois cassettes. — Brigitte, tu aimes les lesbiennes? Ainsi, mon choix particulier ne lui avait pas échappé. Comme dans un rêve, et peut être enhardie par la curiosité bienveillante ...
    ... de ma voisine, je lui répondis : — Oh oui, depuis longtemps. Elle s’approcha de moi, splendide dans une robe noire qui galbait son ventre parfaitement. N’osant pas la regarder, je baissai les yeux, mais elle caressait mes cheveux tendrement. Prenant mon menton dans ses doigts, elle m’embrassa sur la bouche. Croyant défaillir, étourdie par le choc, je m’appuyai sur un fauteuil. M’enlaçant maintenant à la taille, ma voisine me donna un second baiser, plus goulu, plus exigeant. Gémissant de reconnaissance, j’entrouvris les lèvres au maximum pour recevoir sa langue. Nos langues se frôlaient, se nouaient, dans un baiser interminable. Sylvie haletait doucement, mais sans interrompre sa fouille, elle faisait l’amour à ma bouche. Quand enfin nous nous séparâmes, elle me baisa encore partout, le visage, le cou, les seins à travers mon tailleur. — Brigitte suce-moi les seins, je t’en prie, ils sont si gros et si durs. Criant de plaisir, la vulve en folie, je lui dis pourtant qu’il fallait être sages et remettre ça pour plus tard, son amant pouvant revenir d’un instant à l’autre. Comme pour confirmer mes dires, nous entendîmes des bruits dans la cage d’escalier Soupirant, elle me réclama encore 2 ou 3 baisers sur la bouche avant de se détacher. Me regardant dans les yeux, se léchant les lèvres, elle se massa la poitrine une dernière fois, en me murmurant des mots d’amour. — À plus tard, mon amour, lui dis-je, en écrasant une dernière fois ma bouche sur la sienne.— D’accord, Brigitte, je ...
«12...456...12»