J'aime pas le foot
Datte: 08/11/2017,
Catégories:
f,
fh,
ff,
ffh,
jeunes,
voisins,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
fsodo,
... Vidés, nous avons un instant d’absence. Puis je regarde en face et vois la voisine, dans le même état que nous, qui nous regarde aussi. Je lui fais un grand signe lui demandant de venir. Elle me répond en levant le pouce, puis disparaît de ma vue. Véro est alanguie sur le canapé, à moitié endormie. — Je n’avais jamais joui comme ça, c’est dingue.— C’est moi ou ta voisine ?— C’est toi, évidemment. Et puis… peut-être aussi un peu elle.— Tu aimes les femmes ?— Tu es dingue, jamais ! J’entends alors des pas hésitants dans le couloir (toujours l’isolation). J’entrouvre la porte, et c’est bien la voisine qui nous cherchait. Elle porte un grand manteau, a un très joli visage et doit avoir notre âge. Je la fais rentrer, elle m’embrasse sur la bouche en me disant merci. Puis va vers Véro, toujours allongée sur le canapé, nue, totalement impudique. Elle laisse tomber son manteau. Elle est nue en dessous. Devant mon air surpris, elle me dit : — J’étais trop pressée de vous rejoindre, vous étiez trop beaux. Et je m’appelle Édith. Là-dessus, elle se penche vers Véro et l’embrasse longuement sur la bouche. Plus grande que Véro, les cheveux plus longs, elle a des petits seins tout ronds avec de toutes petites aréoles et de grands bouts tout pointus, des hanches toutes fines, une chatte poilue et entretenue. Après ce long baiser, sa bouche descend le long du cou, puis embrasse les seins de ma maîtresse, les lèche, les mordille. Véro commence à gémir sous ces caresses, et une de ses mains ...
... remonte le long du corps près d’elle. Enfin, elle ouvre les yeux, me regarde et me sourit. — Viens ! Je m’approche et elle attire mon sexe, qui a repris de la vigueur devant ce spectacle, le prend en bouche. Édith, qui avait atteint la chatte de Véro, se tourne et lui présente la sienne. Du coup, je suis seul et abandonné. — C’était bon quand il t’a enculée ?— Oh oui, je me sentaiiiis… remplie. Continue comme ça.— Tu veux bien qu’il m’en fasse autant ?— Tu l’as déjà fait ?— J’ai toujours refusé, je pensais que c’était sale, mais tu avais l’air si heureuse, j’ai envie d’essayer moi aussi.— On va te prépare alors. Tu veux bien, Pascal ? Heureux qu’on me demande mon avis. Évidemment que je voulais bien. Et du coup, pendant que Véro lui léchait la chatte, je me suis mis à lui lécher le cul. Pas le même goût, pas la même texture de peau, mais tout aussi agréable. Et l’odeur qui montait d’en dessous était plus épicée, j’avais envie d’y enfouir mon nez. Puis je pressais un doigt, doucement, et il est rentré. Véro n’en perdait pas une miette. — C’est beau, un doigt dans le cul. J’ai fini par y rentrer deux doigts, et aux gémissements que poussait Édith, à ses mouvements du bassin, je dirais que ça avait l’air de lui plaire. Les deux filles se léchaient, se caressaient, on avait une grande impression d’amour entre les deux. Puis Édith m’a dit : — Viens. Maintenant. Je veux te sentir dans mon cul. Passe d’abord de l’autre côté pour bien lubrifier. Je me suis enfoncé dans son con comme ...