1. Le curé


    Datte: 08/06/2021, Catégories: fh, fhh, extracon, religion, Masturbation Oral pénétratio, Partouze / Groupe humour, cocucont, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... dans sa jeunesse, avait été pris de tentations diaboliques, j’ai compris que je pouvais être pardonné, un jour, par notre bon Seigneur. Dieu me mettait à l’épreuve, me testait, et me pardonnerait mes erreurs parce qu’il est bon, qu’il m’aime comme il aime tous les hommes. Je suis rentré rasséréné dans ma paroisse, sûr d’être plus solide dorénavant. Avant ses noces, la jeune « de-de » est revenue me voir plusieurs fois pour que je l’entende en confession. Elle avait fait pénitence et luttait elle aussi contre la tentation. Elle s’était juré de rester dorénavant fidèle et de ne plus ouvrir les cuisses que pour son mari, le moment venu. Elle n’y parvenait pas vraiment, il faut dire, mais elle faisait beaucoup d’efforts. Je savais, quand je la voyais approcher timidement du confessionnal, que j’allais encore subir des tests fatigants. Et même avant qu’elle ne commence à parler, je savais que ma lutte contre moi-même ne faisait aucun progrès : je bandais dès le premier instant et jusqu’à ce que je me satisfasse, discrètement, pendant qu’elle pleurait en me racontant ses frasques. Quelle salope ! J’étais réduit à imaginer son corps gracile, ses seins que je devinais petits, son sexe que je voyais rose et imberbe, ses fesses qu’elle cachait pourtant bien sous ses robes plissées, et ses cris de gougnasse quand elle montait aux rideaux. L’imagination, Monseigneur, l’imagination joue souvent des tours pendables. Je me suis convaincu, durant cette période, qu’il me serait plus aisé de ...
    ... lutter à l’avenir si au moins une fois, rien qu’une fois, je pouvais assister à un accouplement. Assister seulement, bien sûr, pas participer. Mais parler de choses qu’on ignore relève du fantasme, et c’est peut-être ce côté fantasmagorique qui nuisait à mon pieux équilibre. Naturellement, j’ai bien pensé à me rendre dans un cinéma pour adultes, mais on me connaît trop dans la région et je n’aurais pas pris le risque d’être reconnu. À l’époque, Internet n’existait pas. J’ai attendu en espérant que l’occasion se présente un jour, et en priant pour qu’elle ne se présente jamais. La honte que j’éprouvais à mes débuts en me masturbant dans le confessionnal a petit à petit disparu, si bien qu’il était devenu habituel que je demande des détails aux pécheresses pour me motiver. La libération que je souhaitais en la redoutant est venue d’un pécheur, un habitué de l’église que je trouvais jusque-là assez faux, assez cachotier. Il venait régulièrement se confesser mais je sentais bien qu’il ne me disait pas tout, et je n’insistais pas, bien entendu. Puis un jour j’ai reçu son épouse, dévastée par un épisode assez fâcheux de sa vie. Elle s’était laissé séduire par un bellâtre et avait succombé à ses avances. Elle avait réalisé, alors qu’elle se faisait saillir, qu’elle n’avait jamais éprouvé un tel plaisir avec son légitime époux. Ce qu’elle était venue me confesser, c’était tout à la fois un adultère dans tout ce qu’il a de plus sordide, et un goût prononcé pour la luxure, ce qui est ...
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