Une gentille fille
Datte: 08/11/2017,
Catégories:
fh,
Oral
pénétratio,
... poursuive. Elle souffle dans mon cou, ça me donne des frissons. Mais qu’est-ce que cette putain de mob vient faire là ? Le vacarme d’un engin l’a réveillé. La tiédeur dans son dos, c’est le corps de Chantal endormie plaquée contre lui. C’est bien sa main et son souffle qu’il a sentis. Il veut se tourner, se dégager de cette emprise. Délicatement, il soulève le bras, mais ce dernier se rabat sur sa poitrine et l’enlace. La bouche s’est posée sur son épaule. Le contact des seins sur ses omoplates lui produit un effet terrible, il bande comme un cerf. — Henri, je le ferai, mais reste avec moi, murmure-t-elle. Merde. Elle me prend pour son copain. Sa main descend et se pose sur le sexe tendu sous le caleçon. Elle en veut, elle va en avoir. Il guide la main, la place au bon endroit. Les doigts se referment et, inconsciemment, elle commence à l’agiter. Je ne pourrai pas tenir longtemps, oh puis tant pis. Tendant la main, il saisit sur le chevet un mouchoir en papier. Cette main douce et habile, ces baisers dans le cou, la pression de ces seins et surtout la pensée de cette belle fille qui murmure des mots d’amour, qui le masturbe, tout cela le fait rapidement exploser. Ce plaisir fulgurant le fait sursauter, réveillant la dispensatrice de ce bonheur. Hébétée, elle comprend soudainement que si sa tête rêvait, sa main agissait. Dave se dégage rapidement, se lève et file vers la salle de bains. Quelques minutes plus tard, il sort, ne sachant trop comment se comporter. Elle a allumé ...
... la lampe de chevet, le regarde en souriant : — Excuse-moi, ce n’est pas ta faute, je rêvais et tant mieux si tu en as profité, murmure-t-elle.— Moi aussi je rêvais et c’est ta main qui m’a fait prendre conscience que mon plaisir était bien réel. J’aurais dû te réveiller, mais c’était tellement bon. Oublie tout ça si tu le peux, excuse-moi.— Non, je ne t’excuse pas, car moi je rêvais que je faisais l’amour, j’attendais la conclusion et je reste sur ma faim. Tu pourrais au moins me rendre la pareille. Étonné, mais heureux, il s’allonge à côté d’elle, soulève le drap. Pendant son séjour dans la salle de bains, elle s’est mise en tenue, celle d’Ève, prête pour la suite. Sur le dos, les seins sont proéminents, pas des œufs sur le plat ! Et les framboises sombres sont tentantes. Il s’approche du visage, posant doucement ses lèvres sur les siennes. Ce n’est pas du goût de l’intéressée qui prend la tête à deux mains, écrase, viole la bouche masculine. Rassuré, Dave participe à cette mêlée de langues. Ce n’est pas suffisant pour elle. Tenant toujours la tête, elle l’amène sur sa poitrine. Avec délice, il broute ce bourgeon, le sent se dresser sous sa langue, l’agace du bout des dents. Une main saisit l’autre et le torture entre deux doigts. — Oui, vas-y tète-moi, pince-moi, plus fort. Obéissant, il poursuit son travail. Il sent revenir en lui le désir et son sexe se redresse le long de ses jambes. Sa seconde main glisse vers les jambes, trouve un pubis lisse comme celui d’une fillette. ...