Un policier entreprenant (1)
Datte: 08/06/2021,
Catégories:
Hétéro
... vers le flic, qui s’était attaqué à une étagère de livres. J’attrapai le sachet, et le fourrai dans la poche arrière de mon short. — Vous avez terminé monsieur? demandais-je un peu plus sèchement que je ne le voulais. — Quasiment Mademoiselle. Il va falloir que je vous fouille, me dit-il avec son même sourire en coin. — Vous n’avez pas le droit, dis-je avec toutefois une nette incertitude. — On pari ? me dit-il, mettez vos mains sur la table, et reculez d’un pas. Je ne bougeais pas. — Bon on va pas y passer la nuit, dépêchez vous ! Dit-il d’un ton énervé. Je m’exécutai de mauvaise grâce. Je mis les mains sur la table et reculai d’un pas comme il me l’avait demandé. — Écartez moi ces jolies jambes. Je serrai les dents et les écartai de la largeur de mon bassin. — Plus que ça ! Ne vous inquiétez pas, j’ai déjà fais ça avec des filles bien plus jolies que vous ! Dit-il avec un sourire clairement moqueur. Je crispais la mâchoire et écartais les jambes d’un pas de plus. — Ou pas... souffla-t-il. Légèrement troublée, je l’ignorai et persiflai : « Ça ira comme ça ? » — Parfait, dit-il avec un air satisfait. Il se plaça à côté de moi, et balada ses mains sur le devant de mes cuisses, en insistant sur les poches des côtés de mon short, puis sur mon ventre, et je le senti toucher ma poitrine, sur laquelle je ne portais pas de soutien-gorge, un peu plus longtemps que sur le reste de mon corps. Le mouvement me donna des frissons, que ma fierté espérait de peur et non d’excitation. En ...
... tout cas, il avait beau être mignon, s’il pensait qu’il pouvait se permettre d’avoir les mains baladeuses avec moi, il se foutait le doigt dans l’œil. Mais je la fermais car je ne voulais pas que sa fouille ne prenne plus de temps. — Bon, vous avez fini ? Demandai-je, à la fois agacée et stressée qu’il se rende compte que ma poche arrière n’était pas vide. — Quasiment. Et il se baissa à hauteur de mes fesses, dirigea ses mains entre mes genoux, et les remonta très lentement jusqu’entre mes cuisses dénudées. Mes frissons devinrent plus intenses, m’arrachant un léger tremblement que je savais désormais pertinemment d’excitation. — Vous savez, je ne cache rien sous ma peau, dis-je le plus sèchement que je le pouvais. Sans parler, il continua son mouvement atteignant presque mon entrejambe dont j’espérais que la température ne soit pas trop plus élevée que celle du reste de mon corps. Je fermais les yeux, oubliant temporairement pourquoi le beau policier était là, ses mains remontèrent sur mes fesses... — Qu’est-ce qu’il y a dans votre poche mademoiselle ? Je me figeais, l’angoisse me paralysa. — Dans ma poche ? Articulai-je difficilement. — Oui. — Heu je ne sais pas... — Dans ce cas vous ne verrez pas d’inconvénient à ce que je regarde. Sans me laisser le temps de répondre, il remit sa main sur mes fesses et la dirigea doucement vers l’intérieur de ma poche. J’eu un mouvement de recul et essayai de me dégager. Mais il me poussa sur la table, une main entre mes omoplates qui tira ...