1. Un policier entreprenant (1)


    Datte: 08/06/2021, Catégories: Hétéro

    ... sur une de mes longues mèches blondes et l’autre retourna sur mes fesses tandis que je continuais de me débattre, en vain car il était bien plus fort. Alors avec un sourire victorieux, il sortit le sachet. — Hmm, je crois qu’il ne s’agit pas d’une feuille de marronnier dessinée sur ce sachet, dit-il avec un léger rire. J’arrêtais de bouger, le cœur battant. — Ce n’est pas à moi... — Bien sûr, puisque vous ne faîte que de la revente, donnez-moi le nom de celui qui vous fourni. — Puisque je vous dis que c’est pas à moi ! — Alors, c’est à qui ? Je me mordis la lèvre, je n’allais pas dénoncer mon amie, et puis il ne m’avait pas arrêté jusque là, de ce que j’en savais, il n’était peut-être même pas flic. — Il me semblait bien, dit-il lentement tout en me relâchant, il semblerait que vous et moi ayons un problème. — On dirait bien, lançai-je avec plus de confiance depuis qu’il m’avait laisser m’échapper et même une touche d’ironie, qu’est-ce que vous allez faire ? M’emmener au poste ? J’étais maintenant debout face à lui, et je le regardais droit dans les yeux. — Je pourrai, mais mon patron ne serait pas très content, vous voyez, ça fait plus d’un mois que je suis sur le dossier de ce dealer et si je ne donne pas de résultat je serais considéré comme incompétent et je me retrouverai dans la paperasserie, ce qui serait détestable. — Et surtout que fouiller chez moi comme vous l’avez fais n’est pas très règlementaire, n’est-ce pas ? Dis-je avec un sourire. Il m’ignora, mais je vis ...
    ... passer un éclat de colère dans ses yeux. Il était vraiment sexy quand il était énervé. — Serena, comprend moi bien, je suis prêt à tout pour garder mon poste tel qu’il est, tu ne devrais pas faire la maligne avec moi. Tiens, on n’était passé au tutoiement ? Tu veux jouer à ça mon loup... Malgré ma peur -mêlée d’excitation- je refusai de lui laisser penser que j’étais faible. Certes il m’avait prise au dépourvue, mais je sentais une brèche dans son attitude distante et ferme. — James, articulai-je lentement avec un air de défi, ce que tu fais est illégal et si tu ne veux pas que je te dénonce, je te conseille de te barrer de chez moi. Il ne paru pas surpris que je connaisse son nom. Je ne pouvais pas dire s’il se rappelait de moi ou pas, mais j’espérai que si ce n’était pas le cas, que je connaisse son nom le fasse reconsidérer sa façon de me percevoir. Il dû sentir qu’il perdait de son emprise, car son regard se fit menaçant. — Serena, susurra-t-il déclenchant un nouveau frisson dans mon ventre, tu es toute seule contre moi, je pourrais te faire parler. Je pourrais te faire dire tout ce que j’ai envie d’entendre. Et ne compte pas sur tes voisins, je te ferais taire avant que tu ais le temps de crier. Je sentais qu’il ne s’agissait plus seulement de drogue et ce peut-être même depuis le début, mais je jouais à l’idiote. — Ecoutez, dis-je en revenant à un langage plus respectueux qui j’espérais le calmerait, cette drogue n’est pas à moi, mais je peux appeler la personne à qui ...
«1234...»