Un policier entreprenant (1)
Datte: 08/06/2021,
Catégories:
Hétéro
... plus loin. — Excuse-toi ! — Non. Dis-je. Et sa main s’abattit sur mes fesses. Je retins un cri, il y était allé un peu fort. — Toujours pas ? — Je ne te ferais pas ce plaisir, dis-je en souriant. Et je senti que ma résistance était son plus grand plaisir. Il m’envoya trois autres fessées, et déboutonna mon petit short en jean, qu’il descendit à mes genoux, comme il m’avait dit, il ne me restait plus que mon tanga noir pour cacher mes fesses. Il se mit derrière moi, j’écartai les jambes par réflexe et il mit son sexe contre le miens. Il enleva son tee-shirt et je vis son torse musclé, je tendis les fesses contre lui qu’il caressa. — Tu permets ? Me demanda-t-il en tenant les bords de ma culotte. — Vas-y, dis-je d’un voix un peu rauque. Et il me la retira, l’envoyant valser avec mon short dans un autre coin de la pièce. J’étais maintenant à plat ventre, les fesses à l’air sur la table de mon appartement, mon corps suppliant mon esprit de s’abandonner à ce beau policier. — Tu t’excuses maintenant ? Je ne répondis pas, et je reçu deux autres fessées qui m’arrachèrent des gémissements. Il enleva son pantalon, je sentais son sexe contre le mien. Je n’avais jamais été aussi excitée de toute ma vie, je sentais à quel point j’étais mouillée, s’en était presque gênant. Il caressa mon clitoris d’une main tout en caressant mes fesses légèrement rougies de l’autre. C’était trop agréable, mais j’en voulais plus, je voulais le sentir en moi. — Prend-moi James, suppliai-je. — Excuse-toi ...
... d’abord. — Arrête ça on s’en fiche sérieux ! J’allais pleurer s’il ne me prenait pas maintenant. Il frottait son sexe au mien, le plaça devant, caressant mon clitoris avec, je devenais folle. Il le rentrait d’un centimètre et le ressortait, je tendis les fesses vers lui. Il gémit, sa barrière de mec indéchiffrable tombait, je sentais que seule sa fierté l’empêchait de me pénétrer brutalement. Il changea de technique, me pris par les cheveux, et comme je ne donnais aucun signe de non-consentement, il me poussa à genoux par terre, et approcha mon visage de son sexe. — Puisque tu ne veux pas de plaisir, pas de raison pour que je n’en prenne pas, me dit-il et il força mes lèvres. Comme si c’était possible, mon excitation monta encore d’un cran et je m’appliquais à rendre ma fellation agréable, léchant son gland avec application. Il prit mes cheveux et s’enfonça un peu plus. — C’est vraiment pratique ça, gémit-il parlant de ma longue tignasse qu’il tirait au rythme qui lui plaisait le plus Je sentais son gland contre mon palais et ma bave qui coulait sur mon menton sans que je ne puisse la retenir. Il se retira de ma bouche, me la fit ouvrir. — Excuse-toi maintenant ou je jouis dans ta petite bouche. Je senti qu’il était sérieux, et que si je ne lui faisais pas plaisir, il ne me donnerait pas ma part. Je mis ma fierté de côté, tant bien que mal, et lui dis d’une petite voix : — Excuse-moi... — Pardon ?dit-il sans que je sache s’il était furieux ou fou d’excitation, c’est comme ça que ...