1. Lettre à Caro - 1


    Datte: 08/06/2021, Catégories: fh, inconnu, Collègues / Travail magasin, pied, intermast, journal, f+prof,

    Lettre à Caro 1 Caroline chérie, D’accord, j’ai des beaux pieds mais je n’avais pas de culotte. Déjà la première ligne de ma lettre me donne un choc dans le ventre, je contracte ma chatte une fois, deux fois. Zut, il faut que j’arrête ; je ne peux tout de même pas me faire jouir devant trente ados qui font semblant d’étudier. Ces surveillances sont assommantes. Heureusement, je peux t’écrire mes petites aventures cochonnes, je sais que tu aimes cela, sale fille ! On est à la veille des vacances mais il ne fait pas assez chaud pour être nue « en dessous », non tu ne trouveras pas l’explication. J’ai un contrat avec le secrétaire de l’école, tu sais Albert qui va prendre sa pension l’année prochaine, je lui fais un petit plaisir et il me remplace à la surveillance du midi quand j’ai besoin d’un peu de liberté. Voilà comment c’est arrivé : Il faut signer le registre des présences dans son bureau, il s’arrange toujours pour qu’on signe debout à droite de sa chaise, il regarde bien sagement ta signature avec un petit coup d’œil au décolleté éventuel mais rien de plus, c’est un rite depuis des années aussi je suis restée ahurie quand un jour il me dit : — Madame Nathalie, je donnerais n’importe quoi pour sentir si vous portez des vrais bas ou des bas-culotte. Je suis sortie du bureau comme une flèche mais le lendemain avec un air penaud il recommence : — Vous n’avez pas répondu à ma question d’hier, mais je suis obsédé par vos jambes, vos jupes ont l’air bien sage, elles cachent ...
    ... sûrement des merveilles, je pourrais vérifier avec ma main si vous permettez ? Sa voix tremble, pourtant il me regarde fixement – comme on doit regarder la rue quand on est décidé à se jeter par la fenêtre – c’est moi qui baisse les yeux mais je ne me sauve pas cette fois. Sa main est sur le bureau, à quelques centimètres de ma hanche, je la regarde «Albert, à quoi pensez-vous ? ». Je dois faire un effort pour sortir calmement. Pendant l’étude, j’ai eu tout le temps d’y penser, à la main d’Albert entre mes cuisses pendant que je signe les présences. Bien sûr, c’est un grand classique, un fantasme de tous les hommes mais là, dans un bureau, à l’école et puis surtout que ce soit prévu, que je vienne vers lui en sachant ce qu’il va faire. Aucun homme ne m’a dit, droit dans les yeux : « maintenant je te mets la main au cul ». Au fait, que veut-il faire exactement ? C’est pas si grave, je mettrai un slip bien serrant, il pourra tout au plus caresser mes fesses et je sais ce que je vais lui demander en échange. Le lendemain même refrain : — S’il vous plaît, je ne pense qu’à cela… Moi aussi j’avais pensé à cela, en me penchant pour signer je murmure à son oreille : — Je veux bien, si vous faites l’étude à ma place. J’entends « Ouuui » comme s’il allait mourir. Je reste penchée le Bic en suspend, sans le regarder ; je sens le bout de ses doigts monter entre mes jambes. Il passe la dentelle des jarretières et touche ma peau nue puis mon slip ; il pousse un peu sur le tissu entre mes ...
«1234...»