La lesbienne qui aimait un homme
Datte: 09/06/2021,
Catégories:
fh,
fbi,
hbi,
frousses,
rousseurs,
copains,
gros(ses),
amour,
volupté,
Masturbation
intermast,
Oral
préservati,
pénétratio,
hdanus,
ecriv_f,
... dérange pas de faire ce genre de courses. Tu sais que j’aime conduire.— Je ne voulais pas dire merci pour les courses. Je voulais dire merci d’être là, d’être dans ma vie, me répondit-il dans le creux de l’oreille. Je suis si bien avec toi. Sur ce, il dépose dans mon cou un baiser délicat mais combien charnel. Le vin, la fatigue, l’intimité du moment, ou les trois, me font perdre la tête. D’un geste impulsif, je me tourne soudainement vers lui et je l’embrasse sur la bouche de toutes mes forces. Ma langue frôle la sienne qui, à mon grand soulagement, ne se défile pas. Il répond à mon ardeur et me roule une pelle mémorable. Nous nous allongeons sans nous quitter des lèvres et nous nous retrouvons couchés parmi les coussins d’Orient. Quel plaisir peut se comparer à embrasser sans modération quelqu’un que l’on désire depuis longtemps ? Tout cet amour que je lui voue, toutes ces envies, tout ce désir réprimé m’envahissent comme un raz-de-marée. Je m’enroule en lui avec cette seule envie criante : qu’il me prenne, qu’il me prenne, je ne veux qu’être pénétrée par lui ! Cette fois-ci, je ne m’abstiens pas : ma main descend le long de son torse, frotte sa hanche et son cul superbe au passage, et continue jusqu’à son entrejambe. Pas d’erreur possible : il a une érection aussi dure que la solide patte de la table d’ébène devant nous. Et moi j’ai la vulve à la fois en feu et en grandes eaux. Cette fois-ci, Brice ne dort pas à nos côtés, Gisèle ne m’attend pas dans notre chambre ; nous ...
... sommes vraiment seuls et, si j’en juge par ce que ma main droite vient de découvrir, son désir pour moi est aussi réel que le mien pour lui. Il passe sa main dans ma chevelure et hume son odeur. — Mon dieu que j’aime les cheveux roux. Et ces taches de rousseur… soupire-t-il en effleurant mon bras tout comme il l’avait fait la première fois. Pourquoi j’ai toujours eu un faible pour les rouquins ?— Et les rouquines, lui fais-je remarquer, ce qui nous fait rire tous les deux. Je le regarde droit dans les yeux, ces yeux de velours noisette qui rayonnent la bonté, l’amitié et maintenant – est-ce que je rêve ? – l’amour. Par nervosité sans doute, je me mets à balbutier comme une idiote : — Amine, tu es sûr de vouloir continuer? Ca fait si longtemps qu’on a fait l’amour avec le sexe opposé, toi et moi. Moi, je te désire de tout mon cœur, de tout mon corps, tu dois le savoir, mais je ne veux rien t’imposer que tu regretteras plus tard. Je ne suis pas belle comme toi tu es beau. Je suis trop ronde, je suis plus âgée que toi, je serai peut-être maladroite depuis le temps… je ne suis pas digne de toi… En guise de réponse, il pose son index doucement mais fermement sur mes lèvres signifiant sans doute « Tais-toi, voyons. Qu’est-ce tu crois ? T’es peut-être lesbienne depuis quinze ans, mais tu sens bien ce qu’il y a dans mon slip, et nous savons pertinemment que tu sais quoi en faire ! ». Mais il ne dit rien ; compréhensif et tendre à souhait devant mon émoi, il m’embrasse à nouveau avec ...