Une tête qui dépasse
Datte: 09/06/2021,
Catégories:
ff,
ffh,
plage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
jeu,
... devenue un mobile à la Calder. Bon, on s’installait à droite et à gauche, mais toujours assez loin nous. On sait bien comment ça se passe : on ne va pas se coller les uns aux autres quand il y a autant de place. Alors Aline, qui n’avait revêtu qu’une tunique, ouvrit ses jambes autour de la tête dorée par le soleil. Une langue en sortit pour le plus grand bonheur des deux jouisseuses et du voyeur que je suis. Personne ne pouvait se douter qu’une femme en léchait une autre, tant la situation était peu vraisemblable. Pourtant Marianne y allait de bon cœur. Le fait de n’avoir que la langue à sa disposition, et aucun autre moyen pour procurer du plaisir, découplait son désir. Il ne fallut que quelques minutes pour qu’Aline atteigne l’orgasme, qu’elle a bruyant et liquide. Quelques jets effleurèrent les joues de la tête de poupée, rouges de tant d’application. On laissa reposer un moment, le temps de voir les vacanciers passer et repasser sans s’occuper de nous. Puis ce fut mon tour. Je pris d’abord la même position qu’Aline : assis face à Marianne, les fesses creusant le sable. Elle prit doucement mon sexe dans sa bouche, en cracha les grains qui s’y étaient accrochés et commença une fellation goûteuse. Seulement une fois mon phallus redressé, elle ne pouvait plus que me lécher les testicules, ce qu’elle fait toujours avec une certaine élégance. Mais on ne pouvait en rester là, bien entendu. Il fallait donc que je fasse des pompes pour qu’elle me pompe. Des pompes sur une plage, ...
... cela passe inaperçu. Il y a tant de séducteurs qui veulent ainsi exhiber la force de leurs abdominaux. À cette époque-là, je pouvais tenir longtemps à ce rythme. D’autant que je faisais ces flexions en souplesse et non en force. Au bout de quelques minutes quand même, la bouche veloutée de mon amante eut raison de mon envie de résister le plus longtemps possible et j’éjaculai. Marianne fut maculée, même si une bonne partie du sperme disparut dans sa bouche. Il était temps. Des curieux s’étaient approchés. Pour la première fois, quelqu’un avait vu qu’une femme était enterrée. Mais c’est un jeu qui se pratique couramment sur une plage. Il faut bien passer le temps. Un couple passa donc près de nous et, amusé, fit des commentaires. — Elle est bien jolie cette tête de femme ; on pourrait en faire un buste de Marianne dans les mairies.— Oui, mais qu’est-ce qu’elle a sur les lèvres et la joue ?— C’est de l’écume, voyons chérie, que veux-tu que ce soit… Maintenant il fallait sortir Marianne de là. Progressivement, on la débarrassa de la plage qui l’entourait. Elle avait froid désormais et le soleil pouvait reprendre possession de chaque parcelle de son corps. On la frictionnait à la fois pour la réchauffer et cacher sa nudité aux promeneurs-voyeurs. Mais faisant fi de toutes ces précautions, elle se précipita dans la mer dans un grand éclat de rire, laissant sur le sable un olisbos encore tout humide de ses secrètes secrétions. La nuit suivante, j’eus un cauchemar. J’étais, à mon ...