La douceur des îles
Datte: 08/11/2017,
Catégories:
fh,
couple,
vacances,
plage,
amour,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
pénétratio,
— …Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs… Le commandant de bord et les membres d’équipage vous remercient d’avoir choisi notre compagnie pour effectuer ce voyage dont nous espérons qu’il vous fut agréable. Nous allons atterrir dans une dizaine de minutes. Il sera exactement 9h44, heure locale… Nous vous prions donc de bien vouloir éteindre vos cigarettes et boucler vos ceintures. La température au sol est de 29° Celsius et la piste d’atterrissage est balayée par un léger vent de sud-est. Une fois l’avion posé et immobilisé, les hôtesses se tiendront à votre disposition pour vous aider à vous saisir de vos bagages à main. Nous vous souhaitons à toutes et à tous un excellent séjour, en espérant vous revoir bientôt sur nos lignes… C’est sur ces quelques mots diffusés par les haut-parleurs que je me réveille en sursaut. Le voyage a été long - éprouvant en raison du manque de place - mes jambes sont endolories par huit heures de vol rapidement devenues interminables. Alexandra est profondément assoupie et l’hôtesse me prie de lui attacher sa ceinture. Je tente de la boucler sans la réveiller, tout en jetant un coup d’œil furtif à travers le hublot. Le ciel est sans nuage, et l’océan d’un bleu limpide. Les deux semaines de vacances que nous nous sommes offertes promettent d’être torrides. Alexandra ouvre les yeux, au moment où l’avion entame sa phase d’atterrissage, elle n’a plus vu la lumière du jour depuis notre départ, elle s’émerveille devant tant de clarté, toute opposée à la ...
... grisaille du décollage. Le joli hâle de ses jambes qu’elle croise - aboutissement de quelques séances de solarium - me fait détourner le regard du hublot. Je me demande subitement si elle a gardé l’un ou l’autre de ses sous-vêtement, lorsqu’elle était allongée sous les UV ? Quelque chose me dit que j’aurais amplement le temps de le constater tout au long de cette semaine. Nous ne pouvons, avec Alexandra, nous empêcher de sourire à la vue des visages tendus et crispés de quelques passagers qui se tiennent fermement aux accoudoirs, au moment où l’avion se pose au sol. Il s’immobilise après quelques instants. Il s’ensuit une inévitable pagaille de vacanciers, pressés de quitter l’endroit où ils ont été retenus "prisonniers", pour s’échapper au grand air. Une ravissante hôtesse nous salue une dernière fois à l’entrée de la passerelle, alors que nous nous avançons main dans la main, vers le grand hall de l’aéroport. Après nous être soumis aux dernières formalités douanières et avoir récupéré nos bagages, nous prenons contact avec un employé de "notre" agence de voyage. Les clés en poche, l’adresse en main, nous sortons rapidement de l’aéroport où une file de taxis attendent des clients éventuels. Un chauffeur nous dit connaître le coin comme sa poche. Nous montons à bord de la voiture, dès que nos bagages sont placés dans le coffre. Il n’est pas encore midi et déjà le soleil est brûlant. Le taxi, qui doit ignorer l’invention de l’air conditionné, est un véritable sauna. L’air trop ...