La douceur des îles
Datte: 08/11/2017,
Catégories:
fh,
couple,
vacances,
plage,
amour,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
pénétratio,
... chaud nous asphyxie, nous sommes en nage sous d’épais vêtements qui n’étaient pourtant pas de trop lors de l’embarquement à Paris, douze heures auparavant. En outre, les vitres baissées font circuler dans l’habitacle autant de poussières que d’air tiède. Heureusement, il nous amène à la villa que nous avons louée en un temps record, ce qui lui vaut pour sa peine un bon pourboire. Le cliché est splendide, le ciel, le soleil et l’océan en constituent l’arrière-plan, ensuite face à nous, s’élève une large villa, aux murs blancs, avec de grandes fenêtres qui laissent passer la lumière, et une longue terrasse couverte qui lui procure un peu d’ombre. Elle est bâtie en bordure de plage, une plage de sable fin, qui s’étend à perdre de vue, les villas voisines sont d’ailleurs à peine visibles tant elles sont éloignées. Enfin, nous, à l’avant-plan, deux jeunes vacanciers, les valises posés à leurs pieds, aux vêtements trempés, mais apparemment ravis d’être enfin à bon port. La clé tourne facilement, la porte s’ouvre sur la salle de séjour dans laquelle nous larguons les bagages. Notre impatience à peine contenue nous conduit à ouvrir en grand l’accès à la terrasse, côté mer. Sans chercher à faire plus d’efforts, et avant même d’avoir fait le tour de la propriété, je me mets rapidement à l’aise en ôtant les vêtements qui me collent à la peau, ne gardant que mon caleçon. Face à la mer, heureux de jouir d’un peu d’ombre et d’air, je m’affale dans un des fauteuils en osier qui ornent la ...
... terrasse. Alexandra déboutonne presque entièrement sa superbe robe à petits carreaux bleus et blancs, puis fait tomber les brides qui reposent sur ses épaules, sans toutefois l’enlever. Plus téméraire, elle descend les quelques marches qui nous séparent de la plage et pose ses pieds déchaussés sur le sable. À cette heure-là, sa chaleur est presque insupportable et presque aussitôt, elle rebrousse chemin pour venir se blottir dans mes bras. Assis, tranquilles, respirant à plein poumons un air pur, avec le ressac des vagues pour musique de fond, nous oublions un peu plus le stress de la ville. Une légère brise balaye ses cheveux, séchant lentement la peau trempée de son dos et de ses jambes. Nous nous laissons aller à une sieste bien méritée. Le tintement d’une cloche et des cris qui proviennent de la rue me tirent de ma torpeur. C’est un marchand ambulant qui longe les côtes, pour entretenir une clientèle "éloignée" du centre commercial, distant de deux kilomètres de la villa. La faim me tenaille justement, nous n’avons mangé qu’un petit en-cas dans l’avion depuis notre départ. J’abandonne un instant Alexandra pour aller à sa rencontre. Il me propose, entre autres, des fruits magnifiques. A mon retour, Alexandra ouvre les yeux sur un panier rempli de fruits bien mûrs, qui ouvrent l’appétit. La pêche dans laquelle elle mord est juteuse à souhait, sucrant délicieusement ses lèvres, un jus qui scintille au soleil, coulant le long de sa gorge, avant que mes baisers ne freinent sa ...