1. La pute et le troglodyte


    Datte: 08/11/2017, Catégories: fh, hagé, prost, voiture, amour, Oral pénétratio, fsodo, humour,

    ... dans la camionnette, payée par un inconnu. — Tu montes ?— Allons-y. Ali n’a pas hésité un instant. Elle lui paraît beaucoup plus jeune que sa femme, et surtout beaucoup plus entretenue. Il est déjà bien excité à l’idée de se taper une grosse blonde, un fantasme d’enfance. Quand il se masturbait sous les branches épineuses d’un figuier de barbarie, s’entraidant d’un trou opéré dans un cactus juteux, il fermait les yeux et songeait à des blondes charnues. C’était il y a plus de trente ans, entre Tataouine et Matmata, dans le Sud tunisien. L’endroit sombre et exigu dégage une odeur de lavande. Ali fait attention à ne pas se cogner la tête sur la tôle ondulée. À gauche, il y a un lit une place. À droite, se succèdent un tabouret, une poubelle et deux bouteilles d’eau en plastique sur une petite planche au-dessus d’un carton. Elle enlève le manteau, le pousse au coin du lit puis s’étale en transverse, la tête appuyée sur la carrosserie et les pieds sur le tabouret. Il s’assoit au coin du lit. — Alors, que veux-tu faire ? lui demande-t-elle. Il se tait un instant. — Eh bein, niquer, ma’moiselle.— On a une heure, on peut faire autre chose avant.— Bein, … tu suces ? il sort le mot avec hésitation après un moment de réflexion.— Bien sûr que je suce, mon grand, je fais tout sauf embrasser dans la bouche.— Bein alors, tu m’suces et après ji ti nique. Elle s’aperçoit qu’elle a affaire à un abruti d’une extrême gentillesse, elle va tenter avec lui un exercice qu’elle aime bien faire ...
    ... quand elle a le temps et qu’elle est bien payée : le confesser. — T’es marié ?— Oui et j’ai cinq enfants.— Et ta femme ?— Quoi ma femme ?— Vivante ? Morte ?— Ma femme et mes enfants sont au pays.— Tu les vois jamais ?— Une fois par an, parfois deux, ça dépend.— Et tu ne t’ennuies pas tout seul ?— C’est la vie m’moiselle ! ma femme n’est jamais venue ici.— Ah bon !— Oui, moi ji travaille et ji lui envoie l’argent.— Ils sont grands tes enfants ?— Mes deux grandes filles sont mariées et ont des enfants.— Ah, super, t’es grand papa.— Oui, mais ji les vois peu mes p’tits enfants m’moiselle, pourtant ji les aimes beaucoup, mais mon pain est ici et eux ils sont là-bas, c’est Dieu qui veut ça, moi ji peux rien. Ginette dégrafe le soutien-gorge, ses seins tombent légèrement et se déploient en grands ballons gonflés. À l’approche des mamelons plats, un léger rose se substitue à une blancheur de trèfles. Ali se voit déjà enfoncer le nez entre eux mais pour l’instant il ne bouge pas. — Tu peux les toucher et les embrasser, si tu veux.— C’est vrai, m’moiselle ?— Oui, c’est vrai, tu vois, ils sont pour toi. Comme pour l’encourager, elle les presse par ses mains, les poussant vers lui comme une offrande. Ali se rapproche, palpe la chaleur qui s’en dégage, puis enfonce toute sa figure et s’en va lécher de toutes ses forces. Elle le laisse faire deux minutes, admirant son souffle haletant et sa langue visqueuse, mais sa barbe naissante commence à lui faire mal, elle lui écarte avec délicatesse la ...
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