1. Les six week-ends marquants d'Emilie (1)


    Datte: 10/06/2021, Catégories: Hétéro

    Contexte : Emilie, 28 ans, et moi, 27 ans, sortons ensemble depuis un peu plus de trois mois et je passe de plus en plus de temps dans son appartement dans lequel se trouve déjà passablement de mes vêtements. Nous sommes éperdument tombés amoureux l’un de l’autre et ne concevons plus de vivre l’un sans l’autre. Pourtant, je reste un peu sur ma faim par rapport à notre sexualité. Certes, Emilie se montre ouverte, curieuse et s’abandonne à l’amour. Cependant, elle n’est ni proactive ni joueuse. Week-end : Pour notre première Saint Valentin, je réserve dans un joli hôtel dont le restaurant est réputé. Situé au bord d’un lac, l’hôtel est de taille moyenne et notre chambre, située sous les toits, à une vue imprenable sur le lac. Emilie est très excitée par la perspective de passer le week-end à l’hôtel pour l’occasion. Le temps est gris, pluvieux et frais. Pas vraiment idyllique au moment de prendre la voiture. Sous un manteau, Emilie porte un chemisier marron assez moulant et un jeans. Nous papotons tranquillement durant l’heure de voyage et arrivons à l’hôtel sur le coup des 16h. Les formalités administratives sont rapidement effectuées, nous sommes conduits à notre chambre. A l’intérieur, nous faisons un rapide tour avant d’admirer la vue sur le lac. Les nuages sont impressionnants sur les montagnes, derrière la rive d’en face. Alors qu’Emilie ne se lasse pas de ce tableau magnifique, je viens derrière elle et commence à la peloter. Je l’embrasse dans le cou : — J’ai envie de ...
    ... toi, bébé. — Déjà ? — Un agréable moyen d’intégrer notre chambre, tu ne crois pas ? — Oui... Je déboutonne son chemisier. Alors que j’en écarte les pans, Emilie tire les rideaux bien que nous soyons dans les combles de l’immeuble sans vis-à-vis. Je m’en amuse : — Je ne crois pas que nous risquions d’être vus ici... — Mieux vaut être prudent... Emilie se tourne alors, s’agenouille et sort mon sexe pour le sucer. Si elle fait ça bien, voir très bien, je regrette que cela ne dure jamais longtemps. Il en est de même aujourd’hui. Emilie se relève bientôt et nous passons sur le lit sur lequel je la déshabille avant d’embrasser son corps brûlant. Ses petits seins ronds, son ventre plat, son triangle noir impeccablement tondu, ma tête tourne devant ces merveilles. Alors que j’ai commencé mon cunnilingus depuis une trentaine de secondes, Emilie tire mon épaule : — Viens ! Viens en moi ! J’avais envie de la lécher plus longtemps, mais Emilie est souvent impatiente que je la pénètre. Je glisse dans son sexe détrempé et vais et viens entre ses jambes ouvertes. Emilie prend énormément de plaisir dans cette position dans laquelle je la fais monter lentement à l’orgasme. Puissants, intenses et violents, les orgasmes d’Emilie ont quelque chose de très spectaculaire. Nous roulons dans le lit et elle se retrouve à califourchon sur moi. Sa sensualité s’exprime pleinement lorsqu’elle ondule en glissant profondément sur mon sexe. Ses gémissements contenus, ses yeux mi-clos, la bouche entrouverte, ...
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