Les six week-ends marquants d'Emilie (1)
Datte: 10/06/2021,
Catégories:
Hétéro
... ses seins gonflés, ses tétons durs et tendus : j’observe Emilie qui me chevauche et elle est prodigieusement belle. Alors qu’elle se penche en avant, une dizaine d’allers-retours plus rapides et vigoureux lui permettent de jouir pour la seconde fois. Elle m’embrasse, sourit en reprenant ses esprits, puis elle me dit : — Viens derrière moi... Son péché mignon. Je l’avais fait tellement rougir en la faisant avouer que la levrette était sa position favorite. A quatre pattes, je n’avais jamais vu une femme aussi excitante qu’Emilie. Ses hanches juste un peu larges, ses cuisses fortes et athlétiques mais surtout ce généreux fessier absolument fantastique, musclé, rond et rebondi. Sa cambrure faisait le reste. Je reste quelques secondes en admiration devant tant de beauté. Son sublime anus rose m’attire de plus en plus et je n’ai fait que le caresser jusqu’ici. Il m’excite d’autant plus qu’aucun homme ne l’a jamais pénétré. Je m’approche et dirige mon sexe dans la vulve détrempée et rougie qui s’offre à moi. Emilie gémit à mon passage. J’attrape ses hanches et entame mes mouvements de rein. Je l’entends souffler, haleter. Elle ne me l’a pas dit, mais j’ai remarqué qu’elle aimait que j’aille crescendo et je m’attelle à élever petit à petit la cadence tout en augmentant la vigueur de la pénétration. Les "Oh oui" et les "Encore" murmurés par ma partenaire m’incitent à poursuivre ainsi. Bientôt, mes hanches claquent bruyamment contre les fesses d’Emilie. La jolie blonde fléchit, mais ...
... résiste à mes coups de boutoir contre son cul. De petits cris terminent ses gémissements. Je résiste tant que je peux avant de sentir l’intense plaisir de mon orgasme parcourir l’ensemble de mon corps. Emilie lâche un "Mon Dieu..." qui me ravit. Je me retire et m’écroule sur le lit. Emilie vient contre mon épaule, souriante : — Tu étais en forme, mon chéri... — Ça doit être l’air du lac ! Elle rit. J’ajoute : — Je trouve aussi que c’est un bon début. Le regard plein d’ironie, elle répond : — Tu veux dire que tu veux le refaire plus tard ? — Je ne sais pas, on verra... Quelques baisers plus tard, nous nous endormons profondément. Je me réveille une heure plus tard et observe le corps nu de ma compagne. Je repense à notre ébat. Je ne peux pas dire que je n’ai pas apprécié. Le souci, c’est ce déroulement très souvent le même : Emilie me suce quelques instants, "tolère" un court cunni avant la pénétration et ces trois positions. Un minimum de mots et de communication. Emilie a ses habitudes, prend du plaisir ainsi et semble craindre de faire autre chose. Ne voulant plus y penser, j’allume la télévision sans son et laisse dormir Emilie qui se disait assez fatiguée ces derniers temps. Elle se réveille finalement à 18h30. Un baiser puis elle va aux toilettes. Quand elle revient, j’ai sorti le petit cadeau que je lui ai acheté. Un ensemble de lingerie noire qu’elle voulait s’offrir mais qu’elle trouvait trop cher. Emilie est aux anges : — Tu es fou ! Tu n’aurais pas dû ! Mon Dieu, il ...