Ma tante de 45 ans est sublime (15)
Datte: 10/06/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... pensai que ma tante était faite pour moi, tant sur le plan physique que sentimental. Aucune dispute entre nous, toujours des sourires, le rêve d’être avec une femme, avec ma tante. — Ca va mon chéri ? — Je pensais à nous. — Jean mon amour, on va peut-être arrêter ? — Oui. Lui dis-je toujours pensif en restant en elle. Je me retirai avec lenteur, regardant ses lèvres intimes se détacher de mon sexe. Ma tante ne bougea pas et je ne pus m’empêcher de caresser sa vulve, une caresse ample remplie de tendresse. Une fois assis, Chantal vint se lover contre moi. — A quoi pensais-tu ? Me demanda-t-elle, posée sur mes genoux. — A notre avenir. Lui dis-je en promenant ma main sur son sein désireux de sa présence. — Et puis ? — Chantal, on me propose en fin d’année un poste situé à Sacramento, c’est une sorte de stage mais en réalité, il s’agit de savoir si je suis à la hauteur pour gérer une équipe à l’international. — Et si tu refuses ? — Je stagne ma chère tante. — Et moi ? — C’est toute la question, je ne peux pas me séparer de toi. — Donc tu aimerais que je parte avec toi aux États Unis ? — Tu pourrais changer de job ? — Oui Jean, je peux mais j’ai peur que tes parents soupçonnent notre relation et pire, si ta mère l’apprenait, je n’oserais plus la regarder en face. — Quoi, le fait que sa sœur adore se faire baiser par son fils, qu’elle jouit comme une folle et qu’elle est raide dingue de lui ? — Jean arrête ! - C’est faux ce que je dis ? — Mais non et tu le sais, j’adore faire ...
... l’amour avec toi mais alors comment fait-on ? — Je pars en premier et un mois plus tard, tu me rejoins si tu as une mutation ou autre chose. — C’est jouable mon chéri mais il faudra être sur nos gardes... En janvier 2000, mon manger me proposa mon fameux stage à Sacramento, capitale de l’Etat de Californie. J’en avais discuté avec mes parents en décembre et même si ma mère fut enthousiasmée, l’idée qu’elle ne me verrait plus la rendue quelque peu mélancolique. Je glissai dans la conversation qu’un ancien copain de l’école de commerce s’y trouvait sur place, donc aucune inquiétude, je ne partirai pas en terrain inconnu (pur mensonge). Fin janvier, la veille de mon départ, mes parents firent un saut dans le sud pour me voir une dernière fois. Ils logèrent chez ma tante et nous nous retrouvâmes le soir, tous les quatre. — Tu sais maman, j’aurais certainement des allers-retours à l’antenne de Sophia à faire pour des comptes rendus et je monterai sur Paris vous voir. — Oui, j’espère que tu te plairas et toi Chantal, le boulot, ça va ? Ajouta ma mère (Annie de son prénom). — La boîte explose et la direction veut créer un poste en Amérique latine pour l’export, ils m’ont déjà fait une proposition mais j’hésite. — Pourquoi donc ? Dit mon père. — C’est à Sao Paulo en Argentine, ça ne m’enchante guère maintenant, il y a un poste qui se libère près de Los Angeles, mais je ne sais pas si je serai à la hauteur. Ma tante se montra bien habile pour embrouiller les cartes, nul poste en Argentine ...