Ma tante de 45 ans est sublime (15)
Datte: 10/06/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... accueillant. Ses lèvres petites ou grandes se frottèrent contre mon membre imposant, Chantal consomma son plaisir brut en gémissant. — Que tu es fort, comme je te sens bien ! — Contracte un peu ton vagin. — Je n’y arrive pas ! C’est trop bon de t’avoir en moi. — Tu m’aimes ? Lui dis-je avec un grand coup de rein. — Oh oui je t’aime Jean. — Tu veux un bébé de moi ? En imposant des coups saccadés dans les profondeurs de son orifice. — Je ne sais plus... Répondit Chantal au bord du plaisir ultime. — Ca n’est pas une réponse ! Tu aimerais un enfant de moi ? Tout en caressant son bas ventre, je pétrifiai un de ses seins. — On verra mon chéri mais continue. Ma tante m’implora de continuer à la baiser, aussi je sais ses hanches tel le mâle pratiquant un coït sur sa femelle, de manière ferme. Je me fis pressant, Chantal adorant cette pratique nouvelle voire quelque peu sauvage. Mes aller-retours se terminèrent en un aller simple. Je restai au fond de son intimité accompagné de mouvements courts mais à chaque bien profond. Le bonheur de ma tante ne tarda pas. — Oh Jean... Chantal ne finit pas sa phrase, un orgasme s’empara de son corps tout entier, je la vis trembler, sursauter et enfin jouir avec mon sexe en elle. kwlkddax — T’es un génie du sexe ! — Allons ma chérie, tu t’égares. Je ne m’oubliai pas au passage et ma tante sentant mon bonheur arriver se cambra davantage. Je la pénétrai au plus profond d’elle-même, son âme m’appartenant. Ma tante se délecta de mon membre enfoui en ...
... elle, mais elle prit conscience qu’une vague soudaine, dévastatrice submergea mon esprit et mon corps. Ce fut un raz-de-marée pour ma tante, surprise de la violence de mes spasmes profonds et lents. — C’est fantastique Jean !! — Ouii... Lui répondis-je en plein déferlement. Encore un terme quelque peu barbare, mais je pilonnai Chantal hurlant sa jouissance mêlée à la mienne. Son orifice trempé, dilaté, réclamant mon sexe devint son nid douillet. Chantal dans un état second se mît à geindre du plaisir reçu. Puis dans mes derniers spasmes, je pris ses seins au mamelons tendus, je les palpai, je les pétris avec vigueur, avec tendresse. Leur peau si douce, si lisse au toucher fut un régal de caresse, Chantal se tortilla légèrement, signe que mes mains collées à ses seins ne lui furent pas insensible. J’éprouvai une sensation magique durant cet instant, la sensation que ma semence chaude se répandait dans le corps de ma tante, dans ses chairs intimes, qu’elle naviguait pour atteindre ses cellules du cerveau. Je pensai devenir fou quand Chantal se retourna brièvement. — C’est trop bon Jean, je n’en peux plus avec toi ! — Je te donne tout mon amour. — Oh oui...Toi tu sais me faire jouir !! Bien que Chantal fût ma tante, notre étreinte ressembla à celle de deux amants ordinaires, d’un couple uni, d’un binôme fusionnel. La rencontre du positif et du négatif se rencontrèrent, j’en fus persuadé comme si deux amants-aimants se collés à jamais. Cette impression me revint sans cesse, je ...