Ma tante de 45 ans est sublime (17)
Datte: 08/11/2017,
Catégories:
Inceste / Tabou
... mettre sur moi. Ma tante se colla contre moi, me faisant des baisers épars. De mon côté, mon sexe en feu réclama son dû, le corps sublime de ma future quinquagénaire. J’eus le temps de téter son sein, Chantal écartant ses jambes de plus belle ce qui me fit ressentir la moiteur de son intimité. — Viens en moi. Lui dis-je la caressant de toute part. — Oui mon chéri. Chantal saisit mon membre et l’approcha de son orifice rêvé. Elle se laissa pénétrer précieusement, j’entrai en elle pour qu’elle m’appartienne, qu’elle devienne mienne. A cet instant précis, je partis vers un voyage lointain, rejoignant les paroles de cet illustre poète anarchiste. "Si la mort avait ton regard Je meurs ce soir sans regarder Et te demanderai ma part Au bord du vide et des baisers L’amour ça ne meurt que la nuit Alors habille-toi en moi Avec un peu de rouge aussi J’aurai ta mort entre mes bras...". Je mourus ce soir-là dans les yeux de ma tante et l’instant d’après, j’eus sa mort entre mes bras. Nous nous crispâmes de manière simultanée, fort de nos jouissances respectives. Chantal m’embrassa comme si ce fut la dernière fois, j’enlaçai ma tante de peur de la perdre. Nous restâmes l’un dans l’autre de longues minutes. Tolstoï se mêla à mes pensées. "Dans l’amour entre l’homme et la femme, il y a toujours une minute où cet amour atteint son plus haut degré, où il n’a plus rien de réfléchi ni rien de sensuel, où il est entière union de deux êtres en un seul". La minute fut consommée. Nous allâmes nous ...
... coucher, repus d’amour. Les années se succédèrent et nous fîmes des allers-retours à Paris pour y voir mes parents. Au fil des années, les tensions entre ma mère et ma tante s’amplifièrent, mon père en fut dépité et me confia un jour, qu’il serait plus judicieux de venir sans la tante. Je répondis par un refus catégorique. eozzgd En 2010, nous vîmes pour Noël. Les tensions atteignirent leur apogée. Le soir même, Chantal du haut de ses 55 ans et toujours aussi mince, revêtit un ensemble de couleur crème avec un pantalon moulant. Personnellement, je la trouvai ravissante et ses formes avantageuses auraient pu faire rougir des trentenaires en toute objectivité. Ce ne fut pas du goût de ma mère, très vieille France. Une fois les cadeaux distribués et Anne couchée, nous dinâmes. Ma mère ne fut pas tendre. — Anne a déjà 10 ans et que devient Mike, ton grand fils ? — Oh il est venu nous voir avec Amanda le mois dernier. Répondit ma tante agacée par le terme "ton grand fils", allusion directe à son fils pratiquement de mon âge. — Je vous ai préparé votre chambre pour ta tante et toi. Dit ma mère s’adressant à moi. — C’est sympa de ta part mais cela fait 10 ans que nous couchons ensemble. Sur un ton volontairement provocateur. — Je ne sais pas ce que votre fille pensera de tout ça quand elle sera en âge de comprendre. — Annie, ça suffit avec tes remarques désobligeantes ! Mon père tenta de calmer le jeu, rien n’y fit. Un silence pesant regna lorsque nous prîmes le déca du soir. Puis ma ...