Ma tante de 45 ans est sublime (17)
Datte: 08/11/2017,
Catégories:
Inceste / Tabou
... tante posa une sorte d’ultimatum à ma mère, si encore une fois elle se prenait à évoquer notre relation incestueuse en y impliquant notre fille, elle ne mettrait plus les pieds chez elle. Ma mère prit acte et se tut. Ambiance délicate... Nous regagnâmes notre chambre et Chantal fut passablement énervée. Elle prit le temps de se démaquiller et se glissa nue dans le lit en soupirant. Je ne sus si ce fut une provocation envers ma mère et sous son toit, mais ma tante fut incroyable. — Jean, viens me câliner. — C’est une idée mais tu es si énervée. — Justement, ça va me calmer. Je caressai les hanches de ma chère tante et je repoussai le drap pour la voir nue. Chantal resta allongée sur le dos et me prit par l’épaule en m’invitant à lui stimuler sa poitrine. Je pris à pleine main l’un de ses seins pour porter à ma bouche son téton, désireux de se faire cajoler. Je l’aspirai en le mordillant à son extrémité, aussitôt ma tante se mit à gémir m’incitant à descendre plus bas. Sans me poser de question, je cédai aux faveurs de ma belle Tatie qui déploya ses jambes lisses, pour m’offrir une dégustation royale de son intimité. Oubliant les préliminaires, je léchai sa vulve demandeuse de manière aléatoire, alternant les parois vaginales et la pointe de son sexe. La ménopause lointaine, Chantal se mit à secréter sa liqueur intime, fruit de mes intrusions intempestives dans le début de son orifice. Elle se tortilla du plaisir reçu et souleva ses jambes aussi haut qu’elle le put. Je compris ...
... immédiatement que ma tante cherchait autre chose qu’un accouplement traditionnel. De par ce geste, elle voulut clairement que je descende encore plus bas, là où les bonnes mœurs voire la religion interdisent formellement ce type de pratique. Etait-ce une provocation ultime que de se faire pénétrer par derrière par son neveu vis à vis de ma mère ? J’en fus persuadé, d’autant que la dernière fois remonta à plusieurs mois. N’ayant cure de ces bonnes mœurs, je pris soin de la tante, aussi je cajolais comme il se doit cet endroit plus qu’intime pour une femme. Ma langue fit le tour de ce petit orifice, remplissant Chantal de sensations légitimes. — Je vais me mettre sur les genoux mon chéri. Toujours éblouissante à regarder dans cette position, mon sexe se mît en quête de plaisir à la vue de sa croupe, bien disposée à l’accueillir. La posture de ma tante ne fut pas anodine en se mettant fesses à l’air sur le lit de la chambre d’amis de mes parents, face au fils de sa sœur. Les mèches blondes recouvrirent son visage, la lumière tamisée accompagna les courbes douces de ma tante, féline à souhait. Je me mis à l’ouvrage, ma langue s’occupa de son magnifique postérieur, tandis que mes mains pétrifièrent chacune de ses fesses. Je vis ma tante soumise, en attente de recevoir mon sexe en elle. Je ne la perçus plus comme ma tante mais comme une femelle en chaleur se laissant lécher par le mâle. Elle resta immobile, telle une statue que je n’arrêtai pas de polir. J’approchai enfin mon sexe ...