1. Ma tante de 45 ans est sublime (17)


    Datte: 08/11/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... après tu prends une douche. — Quelle question ! Je ne m’attardai point sur le corps de ma tante et filai sous la douche. Une fois prêt, j’ouvris la porte de la salle de bain pour y découvrir un spectacle étourdissant. Chantal me fit son beau sourire, allongée sur le lit, les bras en croix derrière la tête et les jambes grandes écartées. Je restai bouche bée. Entièrement nue, elle agita brièvement son bassin et à la vue de sa mine relâchée, elle me signifia sans mot dire que je pouvais disposer d’elle dans l’instant même. — Alors qu’en penses-tu ? — Pardon ? — Ne fais pas comme avec ta maman et viens satisfaire ta Tatie ! — Pas si vite, laisse-moi regarder ta chatte magnifique. — Tu m’embêtes avec ça. Chantal prit un air gêné. — Ecarte bien tes jambes que je vois tes belles lèvres si roses. — Bon... Chantal écarta davantage ses jambes, j’approchai et je lui fis une lente caresse de bas en haut sur son intimité, je remarquai que ma tante ne fut pas insensible à mon geste. Je tendis mon doigt vers sa bouche, caressant cette fois ses lèvres pulpeuses. Elle le mît dans sa bouche et le suça généreusement en creusant ses joues. Subitement elle le retira. — Jean, tu me sautes maintenant, je n’en peux plus ! — Mais je viens ma douce Chantal. Ma tante ne put, sur mes dernières paroles qu’esquisser un large sourire. Son regard en dit long sur le plaisir promis de se faire pénétrer par son neveu. Mon sexe se présenta face à l’intimité de ma tante. Mon gland fit connaissance avec son ...
    ... antre, il poussa la porte, se retrouva dans l’entrée et la propriétaire m’incita à longer son long couloir. Mon sexe galant accepta volontiers et pas à pas, il parcourut ce passage fort accueillant. J’arrivai dans la salle à manger et fis demi-tour pour parcourir à nouveau ce couloir enivrant. La propriétaire ne fut que charmée de voir que sa demeure charmante plut à l’ensemble de ma personne, je foulai une nouvelle fois ce fameux couloir, sombre, mystérieux à souhait dans lequel je ne voulus plus sortir. Mais la maîtresse des lieux m’indiqua la salle de séjour en insistant quelque peu. — Oh c’est si agréable de te sentir dès le matin mon chéri mais il faut faire vite, ta maman va se poser des questions. Je m’amusai d’entendre ma tante appelant ma mère "ta maman" et le nom de cet écrivain m’échappe mais sa phrase fut d’actualité entre ce que nous fîmes ma tante et moi. "Faire l’amour en cachette, c’est comme voler des bonbons à l’épicerie, c’est délicieux. Ce goût exquis, dans l’arrière-bouche, d’une chose pas bien. Pardonnez-moi mon père, pardonnez-moi ma mère, pardonnez-moi parce que j’ai péché et que je compte bien pécher encore et encore". Assimiler ma tante à un bonbon fut fort proche de notre quotidien et l’idée de pécher avec la petite sœur ne me dérangea nullement. Aussi j’accélérai le tempo et j’inondai de bonheur ma si charmante tante qui ne put que gémir en silence. Elle se crispa de tout son corps pour ensuite se relâcher sentant mes ardeurs s’éteindre. Telle une ...
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