Ma tante de 45 ans est sublime (17)
Datte: 08/11/2017,
Catégories:
Inceste / Tabou
... femelle repue d’un coït bref et intense, elle s’allongea sur le ventre, repliant ses jambes. J’admirai ses courbes, les courbes de ses fesses pour être précis. Mon constat fut sans appel, ma tante était la femme idéale, celle que l’on peut se permettre de regarder sans voir le temps passer. Ensuite elle me chuchota, heureuse du moment passé. — Jean, tu es super doué en amour. — Et pourquoi donc ? — Parce qu’à chaque fois je frissonne ! On est si fusionnel nous deux, je n’en reviens toujours pas avec quelle facilité tu me fais jouir aussi fort, c’est dingue quand je pense que tu es en plus mon neveu. — T’es une pure merveille à baiser ma Tatie. — Je crois l’avoir déjà entendu. Dit-elle radieuse. La fin du séjour approcha, le temps des adieux se fit le soir. Mes parents devinrent plus détendus malgré ma mère, toujours aussi amère de me savoir en couple avec sa sœur. J’eus une nouvelle fois une conversation à sens unique avec elle, ma mère s’inquiétant de mon avenir avec Chantal. Je gâchai ma vie en restant avec Chantal, ses mots furent lourds de conséquence. Nous dinâmes en plaisantant avec mon père, ma mère ignorant Chantal et moi. Puis mon père prit congé et ma mère apostropha sa sœur à la fin du dîner. Le moment fut mal choisi, la veille de notre départ. — Chantal, vous avez pensé à plus tard ? dans quelques années... — Que veux-tu dire par là ? — Dans 10 ans, tu auras 55 ans et Jean 34 ! — Et alors nous le savons et ca reste notre problème. Répondit Chantal. — Maman, tu ...
... peux arrêter une seconde ! — Oui mais ça reste difficile à accepter, regarde ta fille ? Tu l’imagines un jour ta fille qui couche avec ton frère ? Comment réagirais-tu ? — Ok maman, tu marques un point. — On s’aime Annie mais je reste ta petite sœur et nous avons une jolie petite fille. Ajouta Chantal. — Oui c’est l’essentiel. Dit ma mère la larme à l’œil. Nous repartîmes le lendemain avec un goût d’amertume entre mes parents et nous. Je leurs en voulus point, la réaction de ma mère fut prévisible. Comment tolérer l’intolérable ? Sans partir dans la philosophie, Chantal et moi eurent le même sentiment, un sentiment de rejet mêlé de culpabilité. Ma tante ne me dit rien mais au fond d’elle-même, la honte qu’elle éprouva face à sa sœur fut compréhensible. De mon côté, je regrettai d’avoir accepté cette invitation. Le plus simple eut été de venir seul ou avec ma fille. Nous reprîmes notre train-train et les années passèrent. Chantal changea de sa boite pour un poste plus conséquent. L’idée d’un deuxième enfant me parcourut l’esprit mais ma tante fut plus que réticente à cette idée. Un enfant avec son neveu, mais pas deux quand même me répondit-elle un jour et elle ajouta les risques d’une malformation due à son âge et notre consanguinité. A 49 ans, ma tante fut ménopausée, entraînant une forte baisse de sa libido. Elle se trouva laide, pensant que sa silhouette s’alourdissait selon ses propres mots. Est-ce l’amour qui rend aveugle ? Je ne fis que constater ses sueurs nocturnes et ...