Ma tante de 45 ans est sublime (17)
Datte: 08/11/2017,
Catégories:
Inceste / Tabou
... quelques moments d’irritabilité, rien de bien méchant. Quant à sa silhouette, pour une femme approchant la cinquantaine, je la trouvai encore plus attirante. Mes relations avec mes parents ne s’apaisèrent guère au fur du temps, ma mère culpabilisant Chantal en lui reprochant de lui avoir voler ma jeunesse. Ma tante accusa le coup, je tentai de la rassurer en lui expliquant le bonheur de me trouver à ses côtés. Je compris également ses inquiétudes avec le temps qui passe, sa peur de ne plus me plaire, aussi je n’eus aucun mal à la persuader qu’elle restait toujours autant désirable à mes yeux, en lui proposant de se mettre dans une belle tenue de soirée à mon retour du travail. Notre fille, fille unique passant la nuit chez sa petite copine avec des amis de longue date, l’occasion fut trop belle pour se retrouver en tête à tête. Ma tante accepta et se prêta au jeu en me disant qu’une surprise m’attendrait. Etait-ce le retour de sa libido ? Ce fut un vendredi matin, je déposai Anne chez nos amis pour la rechercher le samedi avant midi. Je quittai Chantal qui de son côté partit travailler en lui laissant toute liberté pour s’habiller, même si je lui suggérai que la voir en tenue du soir m’enthousiasmerait au plus haut point. Sa réponse se fit sous la forme d’un baiser bien langoureux, synonyme d’une libido retrouvée pensais-je. Le soir même, je rentrai en ayant pensé à ma tante toute la journée. Je vis sur la terrasse deux flûtes posées sur une table, cela me rappela la grande ...
... époque. Je versai le champagne, attendant impatiemment ma promise. Ma tante se présenta comme convenu en robe de soirée assez courte, mettant en valeur ses longues jambes fines agrémenté d’un décolleté somptueux. Je partis dans le passé pensant à ces mots d’un poète anarchiste aujourd’hui disparu. "Un jour nous nous embarquerons Sur l’étang de nos souvenirs Et referons pour le plaisir Le voyage doux de la vie Un jour nous nous embarquerons Mon doux Pierrot ma grande amie Pour ne plus jamais revenir". Je remplaçai mon doux Pierrot par ma si douce Chantal... Éblouissante de beauté, étincelante de grâce, Chantal fut tout à la fois ce soir-là. Nous fûmes en septembre et mon anniversaire fut proche. Chantal prit une flûte et me la tendit en me chuchotant ces quelques mots. — Notre fille n’est pas là ce soir, c’est le temps des surprises mon chéri. Me dit-elle en me glissant un baiser dans le cou. — Tiens tiens, ma tante aimerait abuser de son neveu ? — Non, elle aimerait que son neveu abuse d’elle, s’amuse avec elle comme tu l’avais fait auparavant. — Dégustons le champagne tout d’abord et mon anniversaire est proche. — Mais je le sais fort bien et quand tu emploies le verbe déguster, tu penses à moi ? — Pas si vite ma belle tatie ! D’abord trinquons à nous. Nos flûtes se rencontrèrent et nous bûmes en nous regardant droit dans les yeux. Ma tante me dévisagea en me souriant. Nous nous mîmes à table et tout en dînant, ma tante aborda des sujets inédits. — Jean, il faut que notre ...