1. La nouvelle Sabine


    Datte: 12/06/2021, Catégories: fh, fplusag, grosseins, hotel, amour, volupté, Oral pénétratio,

    ... de Robert, il était fiancé à un mystérieux… Paul. Quand je vis débarquer Valentino avec ses petites lunettes d’intellectuel, une foule de souvenirs submergea mon esprit. Ils furent tous ponctués par ce constat : il était heureux de me revoir ! Plus tard, je sus que j’avais honteusement rougi. Dans ces retrouvailles, on se remémore toujours les bons moments, mais aussi, quelques scènes inédites oubliées et là, y en avaient quelques unes, des chaudes… Je l’accueillai avec deux bises. Mon lombard n’avait pas trop changé… Il avait perdu son air de jeune homme de bonne famille pour endosser l’assurance d’un trentenaire. Il était devenu proviseur dans un collège rural ! Ce soir, il s’était vêtu décontracté. Personnellement, je n’avais pris garde à rien : une jupe longue en satin de couleur noire et un chemisier manche longue avec quelques frous-frous. Au hasard d’un regard que je voulais désintéressé, tables, gens et bras musclés, je constatai que six ans de musculation l’avaient modelé en un objet de convoitise. Tout en attendant Robert, nous entamions la conversation autour d’un apéritif sans alcool. Son « coéquipier » se faisait attendre… Yeux dans les yeux, nous parlâmes de ce que nous nous étions dit au téléphone. À ma grande surprise, Valentino fut un peu en retrait, décontenancé par ma présence !? Peut-être qu’il comptait sur celle de Robert pour rendre cet entretien moins difficile ?! Je n’eus pas le temps d’approfondir une possibilité, que mon regard était captivé par ...
    ... deux petites rides. Pour lui aussi, le temps avait passé et le miroir me renvoyait mes propres années, mais peut-être que… À cet instant, Valentino quitta la table et me laissa seule avec mes souvenirs. Depuis bientôt vingt ans, je faisais attention à ce que je mangeais, je faisais mes trois heures de sport hebdomadaire qui consistaient en deux longueurs de bassin et quelques minutes de stepper. Mais la pratique de quelques séances d’abdo fessiers n’arrivait plus empêcher mon corps d’exprimer soixante printemps. Quand il revint, je profitai de sa curiosité pour admirer une seconde fois son élégance. Avant qu’il ne prenne place en face de moi, j’eus le temps de me questionner sur la pertinence d’une chirurgie. Ma fille et mes amies étant en grande partie contre, mais Valentino me donnait une raison prioritaire pour que je me lance. Dans mon intime conviction, je restais persuadée qu’il fallait que je le fasse. Mais j’ai peur ! Devais-je demander un avis à mon athlète ? Mais ne l’interpréterait-il pas mal en pensant que je voulais le séduire ? Dans le pire des cas, se permettrait-il ce genre de réflexion : « Mon dieu, Sabine n’a pas vieilli en bien ! » Il s’assoie en me regardant. Mon cœur se met à battre comme celui d’une adolescente devant son prof d’allemand. Son regard pétillant et cette bouche volontaire qui avait pourtant été si maladroite à ses débuts me transportent dans des contrées érotiques… — Pourquoi rougis-tu, Sabine ?— Je repensais au passé, Valentino : c’était bien ...
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