Rupture
Datte: 12/06/2021,
Catégories:
hh,
jeunes,
extraoffre,
copains,
hsoumis,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Transexuels
Oral
hsodo,
Partouze / Groupe
ecriv_f,
Les semaines qui suivirent furent bien remplies .La fac me prenait toutes mes journées, Alain toutes mes nuits. Nous faisions l’amour constamment, parfois chez lui, le plus souvent à mon appart. Mon anus supportait beaucoup mieux la pénétration et tous les deux, nous nous étions bien améliorés dans différentes techniques de préparation. J’étais, il faut le dire, insatiable. Une vraie nympho. Comme, d’ailleurs, pour les fringues. Alain venant d’une famille aisée, il lui arrivait souvent de m’acheter, lorsque nous faisions les boutiques ensemble, des fringues sexy. Je profitais donc de ses largesses pour remplir mon armoire. Nous étions d’ailleurs tous les deux d’accord sur mon style. Pas de fringues vulgaires style pétasse. Au contraire, nous recherchions le raffinement et les ensembles soignés. J’étais Julie, "sa pute BCBG", comme il m’avait surnommé. Ça me convenait tout à fait. Au niveau des chaussures, nous décidâmes également que la taille des talons ne devait jamais être inférieure à cinq centimètres. Cela aussi me convenait, car j’adorais être perché sur ces échasses et marcher en faisant ce bruit qui était un véritable appeau à mecs. Je n’utilisais plus ma perruque que dans de rares occasions, car j’avais laissé pousser mes cheveux et maintenant, je pouvais les coiffer en un joli carré à la mode des années 30. Alain en était fou. De plus, j’avais abandonné les préservatifs remplis d’eau pour bourrer mes soutifs. Je les avais remplacés avantageusement par des ...
... prothèses mammaires en silicone, qui me conféraient un bon 95C. Alain me disait même qu’en me pelotant, il avait du mal à croire que ce n’étaient pas des vrais. Je n’avais plus aucun problème pour sortir en femme, même sans Alain. Aussi, dès que je n’étais pas en cours, je redevenais Julie. Cela devenait naturel. Sébastien n’existait pratiquement plus. Je prenais ainsi de plus en plus de risques. Ainsi, lors d’un cours à la fac, comme je ne pouvais m’habiller en femme, Alain m’avait convaincu de garder un gode dans l’anus. Rouge de honte et de plaisir, je m’installai sur les bancs de l’amphi, le cul rempli par le gode. Alain s’était installé dans la rangée de fauteuils derrière moi. Grâce à une petite télécommande, il pouvait l’actionner à distance. Pendant deux heures, il s’amusa, aux moments où je m’y attendais le moins, à activer le mouvement de rotation de cet objet qui me trouait le cul et me procurait d’intenses sensations, au point que je devais parfois me mordre les lèvres pour ne pas crier mon bonheur à toute la salle. Un autre jour, j’étais habillé d’une minijupe qui dévoilait très haut mes jambes et ne portais aucune culotte. Mais le souci n’était pas là. Alain m’avait enfoncé un chapelet de saucisses apéritives tièdes dans l’anus. C’était divin. L’esprit lubrique de mon homme lui suggéra de m’emmener dehors. Ce fut un supplice génial. Je dus serrer les fesses pendant près d’une heure pour garder mes saucisses, pendant qu’Alain me promenait dans les rues les plus ...