Rupture
Datte: 12/06/2021,
Catégories:
hh,
jeunes,
extraoffre,
copains,
hsoumis,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Transexuels
Oral
hsodo,
Partouze / Groupe
ecriv_f,
... fréquentées. Je devenais de plus en plus friand de ce genre de défi et cela plaisait à mon chéri. Nous étions vraiment sur la même longueur d’ondes. On s’entendait bien tous les deux. Pas comme des copains, mais comme de vrais amoureux, avec des besoins sexuels complémentaires. Ce qui me rendait triste, c’était cette queue qui pendait entre mes jambes et qui, parfois, gênait Alain dans nos jeux érotiques. Ni lui, ni moi ne nous sentions homosexuels. Je me sentais femme et Alain me voyait en tant que telle. Mon appendice gâchait de temps en temps ce véritable conte de fée. J’en arrivais à vouloir le supprimer. Lors de discussions avec Alain sur notre avenir, il était clair que cette situation ne pourrait durer et qu’il fallait penser à une solution. Le transformisme m’intéressait de plus en plus. Mais avant cela, il fallait finir nos études. Et les examens arrivèrent à grandes enjambées. Avec Alain, nous révisions le soir, ensemble, puis nous baisions comme des fous le reste de la nuit. L’intensité de nos ébats était proportionnelle à notre degré de stress. Entre les exams et les résultats, nous nous vîmes beaucoup moins. J’en profitai pour voir mes parents et faire un break. Quelques jours avant les résultats, Alain me rejoignit dans mon appart. Les retrouvailles furent très chaudes. Nous passions nos journées et nos nuits au lit. Ma garde-robe était énorme, j’avais un nombre incalculable de chaussures. Alain adorait me voir me changer. Il était surexcité dès que je ...
... m’habillais en jeune bourgeoise, ce que je faisais régulièrement. Tailleur-jupe noire, chemisier blanc, escarpins talons aiguilles, guêpières et bas. Avec mes lunettes sur le bout du nez, j’apparaissais comme une femme stricte et salope à la fois. Il m’avait également acheté des "costumes" d’hôtesse de l’air et de soubrette, qui lui mettaient le feu à la bite. Un jour, tout en me besognant, il me dit : — Il faudrait que je te présente à mon père. Habillé comme tu es, tu le ferais fantasmer. C’était la première fois qu’il parlait d’une rencontre avec ses parents. J’en profitai pour lui lancer un défi : — Chiche ! Il ne répondit rien, accéléra le rythme et devint moins tendre… Le grand jour arriva. Les résultats des exams étaient tombés, nous étions reçus tous les deux. Alain et moi décidâmes de fêter cela. On se donna rendez-vous chez moi à 19 heures. A 16 heures, alors que j’étais encore "en Sébastien", la sonnette de la porte retentit. C’était Alain et ses deux potes qui, eux aussi, avaient eu leur examen. Je regardai Alain en fronçant les sourcils. Il évita mon regard. Je (re)fis donc la connaissance du vicieux Fabrice et du timide Jérôme. Ils ne me reconnurent pas, heureusement. Alain m’entraîna un peu à l’écart, me jura qu’il les avait rencontrés par hasard et qu’il n’avait pas pu s’en défaire. Il suffisait d’attendre qu’ils partent. Nous passâmes la fin d’après-midi à boire à notre réussite. Petit à petit, nous plongeâmes dans l’ivresse. Les heures défilaient rapidement. Nous ...