La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°611)
Datte: 13/06/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Pauline au Château - (suite de l'épisode N°593) - Elsa reprend sa place à mes côtés, tandis que Walter s'installe derrière le volant. Le moteur gronde, et la voiture repart. Les poignets accrochés au plafond, ce qui fait remonter mes seins lesquels ont les tétons dressés, les chevilles liées à la banquette, je suis à la merci de ces deux inconnus, Maitre et Maitresse de substitution. Je garde la tête baissée, leurs mains se baladent sur mes cuisses, dans mon entre-jambes, sur mon dos, mes flancs, ma poitrine. Le pervers Maître retire les pinces à mes seins puis s’active vivement à étirer mes tétons déjà fort sensibles. Il les pince, vrille, tapote, et mordille sans retenue tandis que la vicieuse Maîtresse me masturbe le clitoris, tout en m’insultant de putain et autres noms dégradants. Je tente de garder mon calme face à ces pervers attouchements de plus en plus prononcés quand mes seins sont encore et amplement soupesés, mes fesses pincées, mon sexe humide est étiré, mes lèvres intimes écartées, mon vagin doigté. La femme s'amuse à tirer sur la corde reliée aux boules de Geisha, le plug en moi vibrant toujours. Je me concentre sur la luxueuse moquette tapissant le sol de la voiture. Je me concentre pour ne pas succomber à ces si excitants contacts, et éviter de salir encore plus la banquette en cuir de la voiture du Maitre. Cependant, je sais cet effort est vain, mes deux voisins font tout pour que je finisse par désobéir en voulant me faire jouir et pour cela ils ...
... emploient toute leur perversité à mon égard. J'ai envie de leur crier d'arrêter, de cesser leurs impudiques attouchements, mais je garde le silence, car c'est ce que je dois faire, comme la chienne que je suis. Je sens ma cyprine coulée le long de mes cuisses contre mon gré, j'aimerai tant jouir, j'aimerai qu'ils me prennent, et me fassent hurler de plaisir, qu’ils me pénètrent profondément, bestialement, sauvagement. Je tente de stopper les images qui défilent en moi, images encouragées par cette incroyable montée de plaisir jouissif qu’ils me procurent. Mais je dois me rendre à l'évidence, cette situation m'excite tellement, et tous ceux présents dans cette voiture l'ont bien compris et surtout perversement voulue. Il suffit de remarquer les nombreux regards que jette Walter dans le rétroviseur central, pour admirer la scène qui se passe. La vicieuse Maîtresse a toujours deux doigts en mon sexe et les active encore plus rapidement par des vas-et-viens dans une cadence volontairement rythmée ayant pour seul but évident de m’amener à l’orgasme… Alors ma respiration s'est accélérée encore plus intensément... Les doigts du Maître ne cesse d'effleurer mon dos et mes flancs, à croire que Monsieur le Marquis leur a indiqué ce que j'aimais. D'un coup sec, la femme me retire les boules de Geisha, me plaque contre la banquette, et ses doigts sont plus présents, encore plus rapides, et plus nombreux en moi. Je gémis, je frissonne, je tremble de plaisir. L'homme me tire par le ruban rouge, ...